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Critique de chartel
Quand on aime les classiques de la littérature française, on ne peut manquer d'être confronté à une des questions centrales qui l'inspirèrent et l'enrichirent, celle de la Querelle des Anciens et des Modernes. Prenant sa source au temps De La Renaissance italienne (retour à l'antique oblige), s'amplifiant au XVIIe siècle avec Boileau et Racine d'un côté et Perrault et Fontenelle de l'autre, elle prendra fin au XVIIIe siècle sans pour autant disparaître totalement.
Plus qu'un simple caprice de lettrés parisiens, cette querelle toucha d'autres foyers intellectuels européens comme en Angleterre et en Allemagne, parce que sa thématique était universelle : le rapport entre le présent d'une société et son histoire.
Cet ensemble , de plus de 800 pages, se compose d'un regroupement de textes qui marquèrent cette querelle, précédé d'un essai de Marc Fumaroli. Cela permet au lecteur de se faire une idée des acteurs et des enjeux de cette bataille littéraire, et de comprendre, à la lecture des textes originaux, les raisons de son ampleur.
Plus qu'un simple caprice de lettrés parisiens, cette querelle toucha d'autres foyers intellectuels européens comme en Angleterre et en Allemagne, parce que sa thématique était universelle : le rapport entre le présent d'une société et son histoire.
Cet ensemble , de plus de 800 pages, se compose d'un regroupement de textes qui marquèrent cette querelle, précédé d'un essai de Marc Fumaroli. Cela permet au lecteur de se faire une idée des acteurs et des enjeux de cette bataille littéraire, et de comprendre, à la lecture des textes originaux, les raisons de son ampleur.
