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Citations sur Radix (16)

Tout ce que nous ressentons nous est retourné. Essaie donc de te sentir bien.
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Le monde est devenu fou, mais nos enfants sont toujours notre lumière.
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Le monde était mauvais, trop sombre pour être éclairé par la pensée.
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C’est étrange, à quel point ces sangchauds sont bâtis de manière à croire qu’ils sont au centre exact du monde. Les oreilles, les yeux – tous leurs sens – conspirent à les faire sentir entiers, refermés sur eux-mêmes. Pas étonnant qu’ils soient tellement arrogants.
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Tu n'es rien.Une personnalité.Un spectre tissé de souvenirs et de prédilections.Tu ne représentes pas grand chose dans la totalité. Oublie donc ce que tu crois être.
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- Dis-moi, où va donc la douleur quand tu l'oublies ?
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Un homme qui s’irrite d’un nom n’est pas digne d’inspirer la peur
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« J'ai besoin de renseignements sur les [humains de la civilisation précédente]. Est-ce qu'ils disposaient d'une puissante technologie ?
- Tout ça a disparu, aujourd'hui, marmonna Anareta. Leur plus grande réussite, leur plus importante réalisation, c'était leur pensée, la vision vers laquelle se portaient leurs aspirations. Vous vous perdriez dans leurs fonctions politiques et sociales. C'étaient des gens trop pragmatiques et trop militaristes pour réaliser leurs idéaux. C'est seulement dans leurs arts, dans toutes leurs préoccupations apparemment futiles, qu'on peut avoir un aperçu de leurs pensées profondes, de [leur âme]. Parfois, ils appelaient leur vision liberté, anarchie, individualisme. Nietzsche l'a exprimé clairement : "L'esprit libre se tient au sein du cosmos avec un joyeux et confiant fatalisme - il ne nie plus." »
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Vidé par le magnar et conseillé par les Mères, Sumner était l'esprit de la terre, proche des animaux de son corps : le cerveau-rat dont la queue était la moelle épinière, le poisson-poumon, le sperme-poisson, l'intestin-serpent... Il était tous les rêves d'esprit de cette planète de boue. Il était la subtile alchimie de la douleur et la faim des entrailles et la vigilance céleste.
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« Assia, il y a toujours plus. Ca ne finit jamais. J'espère que ta nouvelle vie te le fera découvrir. Regarde-toi attentivement. Tu ne vieilliras jamais. C'est vrai. Nous édictons toutes les lois.
Ecoute, si cela te déprime, tu connais le moyen d'en sortir. Le silence de l'esprit est la porte. La mémoire, l'histoire continue de la souffrance. Aussi longtemps que le passé sera réel, tu demeureras. Jetons encore un coup d'oeil à ta nouvelle vie : rien n'arrive par hasard, ou alors tout. Ce qui importe, c'est que tu passes à travers les évènements jusqu'au silence qui gît derrière eux. Oui, les choses peuvent perdre leur pesanteur. Penses-y. Tout ce que sur quoi tu as toujours eu prise peut dériver au-delà de toute direction... Non ? En tout cas nous avons fait un progrès. Tu as compris que tu ne peux pas comprendre. Le corps est l'inconscient du monde. Alors, que peux-tu faire maintenant ? Tout ! A chaque instant ! Tu vois, c'est comme creuser des trous dans le fleuve, comme oublier une chose pour s'en rappeler une autre. Cela parce qu'un dessein persiste derrière les lois du sang, parce que nous sommes condamnés à loucher sur l'absolu, parce que rien d'autre ne peut marcher. Bon. Tu as déjà commencé à trouver ta place. Maintenant, prends un miroir, regarde-le bien en face et souviens-toi de ta mère, de la mère de ta mère, de la plus lointaine aïeule de la mère de ta mère, de cet être vert, proche de la terre, qui ne croyait pas en toi. Souviens-toi, l'innocence qui t'appartient t'attend là où tu l'as laissée, au fin fond de ta peur. »
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