Vasco est tellement heureux, il retrouve son maître, son compagnon, son ami de toujours. (…) Il le prend exactement tel qu’il est, et je me dis : « C’est ça, l’amour pur, l’amour inconditionnel et, finalement, seuls les animaux sont capables de donner cet amour-là. »
(…) Un texte qui pouvait sembler avoir été écrit à la va-vite mais dont, en réalité, chaque mot avait été soigneusement choisi. Chaque mot comme un mégot de cigarette écrasé bien profondément contre son cœur.
Bien qu’elle ait dit : « Je crois que je ne t’aime plus », il a immédiatement pensé qu’elle avait rencontré quelqu’un d’autre. C’est à cela que l’on pense d’abord, non ? Comment pourrait-on comme ça, du jour au lendemain, sans que rien soit arrivé, ne plus aimer la personne avec laquelle on vit, la personne avec qui l’on a fait un enfant ?
Il s𠆞st imaginé mort, peinard (..) sauf que malheureusement il s𠆞st manqué. Malheureusement parce que, si je veux être honnête (...), c𠆞st que je le préférerais mort. Je ne peux pas penser une chose aussi abominable et, pourtant, cette vérité m’habite complètement. Elle est comme une morsure chaque fois que je pense à lui.