De la prise de Notre-Dame de la Garde à la Libération, du camp de la mort...

Une belle pièce de ma collection 💌 . Un soldat qui s'est battu pour la libération de Marseille en 1944, qui a fait la campagne de Tunisie et délivré un camps de la mort celui de Vaihingen Sur Enz avec les démineurs du groupe Franc Pommiès le 7 avril 1945. Quelle joie et honneur d'avoir sa lettre manuscrite originale de 1992 envoyée au célèbre auteur Christian Bernadac. C'est touchant, ce vaillant soldat, photocopier ses brochures de journaux, pour les envoyer avec son livre, à un auteur qu'il estime. J'ai cette chance de posséder ce cadeau 🎁🙌. le cadeau de Christian Bernadac : le témoignage de ce soldat, Roger Audibert. 🙌
✒Son livre qui est sous forme de carnet de soldat contient des copies de lettres, photos et attestation et bien sûr le récit de son épopée, son évasion de son camps de prisonnier à Tunis, c'est de manière immersive qu'on le suivra dans les combats avec les tirailleurs algériens (7 ème RTA) dans la libération de la basilique Notre Dame de la Garde.
Quand aux survivants du camps ils témoigneront : " Merci à tous ces combattants dont certains nous ont confié qu'il leur fallait plus de courage pour nous soigner que pour combattre."

Septembre 1978 dans le journal le Méridional, à la question "et si cela était à refaire" ? Il repond au journaliste:
" Je le dis très franchement je ne me suis pas battu pour la France d'aujourd'hui, mais pour celle de l'époque et dans le contexte de la guerre. Je ne suis pas un héros et je n'aime pas la guerre nous ne souhaitons avec mes camarades que la paix "

Roger Audibert. 25 ans en 1944. 🙌 💙
.