Un des premiers
Balzac que j'ai lu,
Eugénie Grandet nous met tout d'abord aux prises avec son père, tonnelier terriblement sévère et avare qui règne sur sa famille.
Arrive alors un cousin parisien dont le père, ruiné, s'est donné la mort. Eugénie croit voir en lui le grand amour et elle en sera cruellement déçue.
L'intrigue est typique d'une époque où les familles étaient ainsi faites et où les mariages et les vies se faisaient ainsi.
J'ai regretté les très longues descriptions et digressions, elles aussi typiques d'une époque, mais j'ai tout de même apprécié, au prix de quelques efforts.
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