La Maison du Chat-qui-pelote est un récit très court qui illustre l'idée que "pour trouver le bonheur, une femme devait épouser un homme de sa classe" mais aussi qu'un mariage d'amour ne fonctionne que rarement.
Il me semble que c'est une idée qui sera récurrente dans l'oeuvre
De Balzac car mis à part Eve et David dans
Illusions perdues, rares sont à mon sens dans son oeuvre les couples mariés épanouis et heureux (ce n'est ni le cas des Nucingen, ni des Mortsauf (
Le Lys dans la vallée), ou encore du couple de
la Vieille Fille lorsqu'elle réussit enfin à se marier).
Pour finir, là encore, même si ce roman est très court, de trop nombreuses descriptions nuisent à l'histoire, j'ai ressenti chaque description comme un morceau d'histoire en moins.
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