Citations sur Au détour du chemin (12)
Première prière
Seigneur, fais de moi une de tes plus belles couleurs dans ton Œuvre de vie.
Je veux être une couleur vive, une couleur chaude, une couleur de tendresse et d’Amour contre laquelle les gens veulent se blottir.
Une couleur vraie et à l’écoute, à laquelle les gens veulent se confier. Une couleur chaude et joyeuse grâce à laquelle on retrouve le sourire.
Une couleur positive et confiante qui rallume les lanternes de foi.
Fais de moi une belle couleur.
Merci.
Ce sont nos différences qui font nos richesses. Si, dans les écoles, nous cherchions à développer le caractère unique de chaque enfant, ceux-ci seraient bien plus épanouis et apprendraient à mettre en valeur leurs talents et dons. […] Plutôt que de construire tout le monde sur le même schéma, l’école devrait aider chaque enfant à découvrir ce qu’il fait qu’il est unique et merveilleux. Les richesses de l’unicité
Le chemin de Saint-Jacques n’est pas une épreuve sportive. C’est avant tout une épreuve humaine et spirituelle. Ce qui est important, c’est ce qui se passe dans le cœur et dans la tête
Ces derniers jours, des amis et connaissances me demandent où j’en suis dans ma réflexion. Hahaha… Ben… Euh… En fait, depuis que je suis parti, je ne réfléchis pas. Je vis. Et entre nous, c’est bien plus agréable de vivre.
Quand on est ouvert, on ne porte pas de jugement. On ne se ferme pas dans des principes, des cases, des idées préconçues. Par contre, on s’intéresse à l’autre, on ne s’intéresse pas tant à ce qu’il fait qu’à sa personne. Pour être ouvert, il ne faut pas avoir peur. Il faut avoir confiance
C'est la magie du chemin : on ne se connaît pas, on ne s'est jamais vus, on ne parle pas la même langue, et pourtant, on se dit bonjour, on fait la cuisine ensemble et on partage un excellent repas, une ambiance pleine de convivialité.
Quand on est ouvert, on ne porte pas de jugements. On ne se ferme pas dans des principes, ces cases, des idées préconçues. Par contre, on s'intéresse à l'autre, on ne s'intéresse pas tant à ce qu'il fait qu'à sa personne.
Le chemin est généreux avec celui qui s'abandonne à lui. Celui qui ose lui faire confiance et lui sourire en s'ouvrant au monde et en prenant son rythme.
Elle était désolée de ne pouvoir m'offrir que leur compagnie. Alors que, pour moi, c'était un honneur et une grande joie de dîner avec elles. Durant le trajet en voiture pour rejoindre leur maison, j’avais l'impression d'être à la place de Louis de Funès aux côtés de sœur Clothilde dans Les Gendarmes à Saint-Tropez.
Laisser le chemin m'apprivoiser. Le laisser me dire "Je t'appartiens, fais de moi ce qu'il te plaira". Pendant que mes pieds s'adaptent au chemin, mon esprit devient le chemin, et mon cœur, son soleil. Comme nous nous laissons modeler par Dieu en le laissant entrer dans notre cœur, le chemin se laisse modeler par le pèlerin qui ose toquer à sa porte.