KGI, tome 10 : Avant l'aube

Je ne regrette pas de poursuivre cette série car ce tome est nettement meilleur que les derniers que j'ai lu. Maya Banks nous offre ici une histoire très prenante où son héroïne va se retrouver dans une situation juste catastrophique et elle va maintenir son héros dans ses choix de départ de façon tout à fait convaincante. Il y a ainsi moins de faiblesses et l'histoire se tient mieux.

Dès le départ, Maya Banks nous propulse directement dans l'action : son héroïne, Honor travaille pour des oeuvres humanitaires au Moyen-Orient, elle va se retrouver au coeur d'un raid qui va détruire une OMG mais elle va s'en sortir et c'est ce fait qui va alors complètement changer sa vie. le groupe terroriste qui a mené ce raid, ne va pas accepter qu'une jeune américaine s'en soit sortie et vont la poursuivre, Honor débute alors un long périple pour atteindre la liberté en se cachant le jour et voyageant la nuit. Nous la suivons avec la peur d'être découverte, elle ne peut faire confiance en personne et elle se retrouve alors complètement démunie dans un pays où les américains ne passent pas inaperçus.

Le personnage que nous connaissions de la série et que nous suivons dans ce tome, est Hancock. Un personnage qui n'a pas toujours été très clair dans sa façon d'agir, un mercenaire sans foi, ni loi qui agit selon son propre objectif. Malgré ses missions dangereuses et ses idées bien arrêtées sur l'importance de telle ou telle personne, il a toutefois rendu des services aux membres du KGI, alors même qu'il était lui même fautif de certains de leurs problèmes. C'est un personnage très ambigu, qui poursuit son oeuvre pour atteindre un but très précis et lorsqu'il se voit confier la mission de retrouver cette jeune américaine et cela à des fins peu enviables pour elle, il n'hésite pas. Il la capturera et lui mentira jusqu'au moment où il la livrera à l'ennemi sans en prendre ombrage. Une innocente peut mourrir pour sauver tant d'autres innocents, il tâche là de se convaincre que c'est une perte minime.

Quand Honor est "sauvée" par Hancock et ses hommes, elle est soulagée, cette traque l'a complètement épuisée et elle ne souhaite qu'une chose, rentrer chez elle. Elle leur est tellement reconnaissante et c'est là que la culpabilité va venir s'insinuer dans les esprits de Hancock et son équipe. Honor ne cesse de les remercier, tellement elle est soulagée d'avoir été sauvée et nous, nous découvrons en même temps qu'elle, quel sort va lui être réservé, nous positionnant parfaitement dans ce que ressentent les deux camps. Leur périple n'est pas finit, et c'est en toute confiance et reconnaissance qu'Honor va les suivre tandis qu'eux tentent au mieux de combattre leur culpabilité de devoir la livrer, mais Hancock ne faiblit pas, ils ont une mission, ils vont s'y tenir.

Le récit ne faiblit pas un seul instant, il est très prenant. Déjà d'avoir tant d'approfondissements sur l'état psychologique des personnages nous permet vraiment de bien les appréhender. Toutes leurs émotions nous sont livrées telles quelles et cela ajoute de la profondeur au traitement de la romance. Nous constatons les sentiments qui naissent, Honor éprouve des émotions envers Hancock car il l'a sauvé alors que lui, fait son maximum pour tenir ses distances. Son attitude qui oscille entre le chaud et le froid la déstabilise par moments, mais jamais elle aurait pensé se tromper à ce point sur leurs intentions. Honor est courageuse et elle nous le prouve depuis le début, c'est une femme forte malgré la fragilité orchestrée par la situation et c'est très appréciable de la suivre tout du long.

L'histoire est ponctuée de multiples événements et rebondissements, nous connaissons le but de cette mission mais tout ne se passe pas vraiment comme il était prévu au départ. Tout se complique et ils n'ont jamais cessé d'être constamment en danger. La pression qu'ils vivent est présente et pèse sur leur expédition, rendant la lecture du récit encore plus captivante.

Un tome qui permet à la série de rebondir, de reprendre un élan qui s'était essoufflé dans les derniers tomes. Nous avons passé du temps loin du KGI avec Hancock mais nous finissons toujours par les retrouver et c'est toujours sympa de voir ce que deviennent tous ces couples que nous avons vu se construire.
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Dixième tome et pas des moindres de la saga KGI, Avant L'aube relate l'histoire du très mystérieux Hancock. Présent lors de précédentes missions, il n'a eu de cesse d'interpeller le lecteur par ses agissements tout en contradiction et le mystère qui ne cesse de l'entourer. Alors bon ou mauvais ? La réponse est à portée de main.

Je suis une KGI addict depuis le tout premier volume. Cette série a été une réelle découverte et m'a plongé dans la military romance de la plus agréable des façons. Cependant, j'ai commencé ma lecture avec une certaine appréhension, résultat de mes deux précédentes déceptions. Heureusement, il ne m'a fallu que quelques lignes pour reprendre espoir et foncez tête baissée à travers les pages de ce roman.

C'est avec un plaisir non feint que j'ai retrouvé la plume de Maya Banks, celle des débuts de KGI, celle qui m'a fait tomber amoureuse de cette famille hors du commun. Cette histoire est éprouvante moralement et physiquement, ses personnages sont volontaires, déterminés, forts de leur conviction. le lecteur est totalement immergé dans cette ambiance oppressante qui fait écho à notre situation actuelle. En pleine guerre du Moyen-Orient où les extrémistes font rage, l'auteure nous propulse à travers un récit où nos émotions sont mises à mal.

Je me suis posé la question de savoir quelle note j'allais attribuer à ce livre, car malgré tous les points forts du récit il y a tout de même une certaine redondance dans l'enchaînement des événements. Ce qui a fait pencher la balance c'est la force avec laquelle Maya Banks m'a transporté au milieu de ce chaos sans noms. J'ai eu l'impression d'affronter les horreurs de la guerre, de sentir l'odeur du sang, d'entendre les cris des victimes. le texte est fort, troublant, totalement déstabilisant.

Ce que j'ai trouvé formidable c'est la relation que développent Honor et Hancock. Contrairement à d'autres couples de la saga, leurs sentiments ne sont pas immédiats, ils prennent le temps de s'installer malgré l'urgence de la situation. Il est vrai que certains passages sont assez stupéfiants, mais qui peut dire qu'il ne réagirait pas de la même façon dans une situation similaire ? Je ne porte donc aucun jugement sur le déroulement de cette mission. Néanmoins ce que je retiens avant tout c'est l'intensité que j'ai ressentie tout au long de ma lecture. Oublier la déception et le manque de suspens, place à un amour ravageur qui dévaste tout sur son passage.

Je choisis donc le coup de coeur pour ce tome, car malgré quelques petits défauts, j'ai passé un excellent moment en compagnie de ces deux personnages au destin funeste. La trahison, la résignation ou encore les blessures profondes infligées réveillent leur instinct de survie, décuplent leurs capacités et nous offrent un récit à la hauteur de leur réputation.

La prochaine histoire portera sur Joe le dernier frère de la fratrie Kelly encore célibataire qui j'espère suivra le même chemin que Hancock. Rendez-vous le 24 novembre pour en avoir le coeur net.
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Le dernier tome paru des KGI, m'a tenue éveillée tard dans la nuit hier soir. Je retrouve enfin la plume de l'auteure dans toute sa splendeur. Des thèmes récurrents certes mais tellement bien amené. Ici il est question de culpabilité, de courage, de savoir qui on est vraiment et bien entendu d'amour. J'ai beaucoup aimé la nouvelle histoire concernant le personnage froid et quasi inhumain de Hancock. Enfin on va le voir éprouver des sentiments pour lesquels il n'était pas préparé et c'est très plaisant. le personnage féminin est une jeune femme incroyablement forte du nom de Honor. Elle est jeune et souvent ses dialogues nous montre son côté naïf mais personnellement j'ai trouvé cela mignon. J'ai beaucoup aimé le scénario qui même s'il n'est pas très réaliste à le mérite de nous parler du terrorisme dans les pays arabes sans faire d'amalgame avec la population locale. On ne retrouve l'équipe familiale des KGI que vers la fin du livre et du coup c'est comme si on découvrait une nouvelle équipe de military romance , attachante et très soudée. J'ai aimé le rythme que nous donne l'auteure, intrépide, plein de rebondissement avec des retournements qui nous empêche de poser le livre avant la fin. Un très bon page turner. Même si le rapprochement entre les deux personnages arrivent tardivement dans le roman, on est tout à fait conscient de la sensualité torride qui se dégage de leur rencontre et on attend avec impatience l'évolution de leur amour qui bien entendu ne sera pas sans difficulté. Je me suis laissé prendre et j'ai apprécié ma lecture dans la lignée des meilleurs tomes des KGI.
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A l'heure où je rédige ces premières lignes sur mon avis, je n'ai lu que 300 pages sur les 475 que comptent le roman. J'avais peur d'oublier un élément essentiel à mes yeux, si je ne le posais pas là, la cohérence.

Hancock est plutôt un anti-héros puisqu'il a pu aller contre le KGI par le passé. Cependant, il n'en reste pas moins humain ni moins intéressant, ayant son propre mode de pensée. Je ne me souviens guère de ses apparitions précédentes, je m'en excuse par avance, mais au moins, ça ne jouera pas sur mon appréciation. Hancock donc est missionné pour livrer une femme à un groupe terroriste mais cette dernière est le pion dont il avait besoin pour mener à bien une action qui n'a pas eu d'issue et depuis des années.

En parallèle, on découvre Honor qui subit un attentat dans l'hôpital où elle exerce. C'est une humanitaire au grand coeur, qui grâce à sa force et son courage, parviendra à échapper au groupe terroriste… Jusqu'à ce qu'Hancock et ses homme mettent la main sur elle. D'abord en relative confiance, Honor est loin d'imaginer ce qui a été prévu pour elle.

L'histoire commence sans encombre pour ce que je qualifie de cohérence. Par contre, aux environs de la page 270, j'ai failli ne pas m'en remettre.

(Spoiler dispo sur mon blog)

Côte romance, on a droit aux mêmes travers gênants que précédemment, des déclarations d'amour rapides, une héroïne qui s'affaiblit (de mon point de vue) et un héros sans pitié qui devient un nounours.

Cote intrigue, ce n'est pas trop mal construit, c'est même dynamique et intéressant à suivre, avec pas mal d'action et de péripéties ce qui remonte le niveau mais pas suffisamment. le tout est trop convenu et les héros parviennent aisément à se libérer des chocs qu'ils subissent alors que l'autrice insiste bien sur le fait qu'ils sont au plus mal.

En bref, le départ était vraiment bon mais la suite devient trop dégoulinante et quasi irréaliste pour maintenir le niveau.

C'est le tome que je n'ai pas compris, que je n'ai pas aimé. Tout d'abord, car je n'attendais pas d'histoire sur Hancock. D'autres personnages beaucoup plus présents mériteraient d'avoir un tome. Et après lecture, je n'ai accroché ni à lui ni à Honnor. C'est violent, incompréhensible. J'ai lu et relu mais c'est toujours aussi difficile. J'abrège car je n'ai vraiment pas aimé ni compris le but de cette histoire.

Un 10ème tome bien meilleur que le 9ème, mais qui reste en deçà des premiers tomes. On se laisse prendre par l'histoire de Hanckok, malgré quelques imperfections. L'héroïne peut paraître surhumaine face à tout ce qu'elle subit, ce qui peut paraître gros. Mais il manque quelque chose pour que le livre soit à la hauteur des premiers tomes, bien que la lecture reste agréable.

De retour avec notre célèbre saga KGI, le dernier tome n'avait beaucoup déçu, j'attends ce nouvel épisode avec anxiété. Il replace la série dans sa catégorie.

Grâce à sa formation de secouriste et la pratique de la langue arabe, Honor aide un organisme humanitaire à soigner les habitants de ce côté du Moyen-Orient. Après une frappe aérienne, elle se retrouve coincée et blessée parmi les cadavres. Elle doit fuir et rejoindre la frontière avant que les terroristes la retrouve.
Hancock vient de recevoir une mission par Bristow, enlever une femme pour la remettre aux terrorismes contre une dette. Il aurait préféré attraper le criminel Maksimov, plutôt que de courir après une rescapée. Son groupe anciennement Titan, recherché pour trahison par le gouvernement, oeuvre maintenant pour leur compte comme mercenaires à condition que ses missions soient justes. Ils suivent toujours leur devise : «L'intérêt du plus grand nombre passe avant celui d'une seule».

Honor Cambridge petite dernière d'une famille de six enfants, a toujours été surprotégée. C'est une femme d'une volonté de fer, intelligente qui sait relever les défis et surtout très courageuse pour oser tenir tête à un homme comme Hancock.
Hancock est un mercenaire d'élite, sa vie se résume à tuer et à manipuler. Il n'obéit qu'à une seule justice et loi, la sienne, soit un retour à la vie civile serait surement impossible. Fils adoptif de Big Eddie et de Caroline Sinclair, se disait loin des crises de conscience, alors qu'il a déjà épargné deux femmes, Grace et Elizabeth ainsi que Maren, et maintenant prit entre deux feux. Il est dominateur et très autoritaire, cachant une facette douce et tendre derrière cette facette.

La narration est à la troisième personne. La plume est toujours dans la même ligne, facile à lire et très fluide. Les quelques répétitions sur certains événements sont toujours là, néanmoins le retour de suspense et de l'action sont un bonheur. Même si le côté déjà-vu du «je te mérite pas» est encore dans les grandes lignes de l'intrigue amoureuse, le secret du succès de la saga est de nouveau présente.
Certains passages sont très réels, comme le témoignage de la haine, de la souffrance et de la terreur que peuvent infliger ces terroristes. Devenue une héroïne, une figure de courage et une légende, Honor obtient le respect et l'admiration, et met en péril un groupe très soudé et surtout impitoyable. Ce groupe se composent de cinq hommes, des frères, des durs à cuir : Baraka le taciturne, Conrad au caractère de chien, Henderson , Viper, et Cope d'un sang froid impressionnant. Ce groupe déjà aperçu dans certaine des missions précédentes, et pas toujours dans le côté des gentils va dans ce tome être confronté à la sincérité et au courage d'une petite femme, les mettant tous à genoux.

Une romance à suspense très touchante. Certains passages sont rudes, d'autres d'une intense émotion, et certains très surfaits. Un tome remontant le niveau de la saga à son succès précédent, hâte de lire le suivant maintenant, en espérant rester dans la même conduite.
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Aujourd'hui je viens vous parler du dixième tome de la série KGI de Maya Banks qui s'appelle « Avant l'aube ». C'est assez étrange de se dire qu'on a déjà lu 10 tomes de cette série. J'ai l'impression que c'était hier que je la découvrais un peu par hasard alors que les deux seuls premiers tomes étaient publiés chez Milady Romance à ce moment là. A chaque fois qu'un nouveau tome est disponible en français, vous devez vous douter que je me jette littéralement dessus et c'est encore une chose que j'ai faite avec « Avant l'aube« . de plus, j'étais quand même très intriguée par le personnage de Hancock qui est le héros de ce tome. On sait qu'il est ni gentil, ni méchant et qu'il peut traîner dans des affaires un peu voir très louches.

Dans ce roman, on commence par faire la rencontre de Honor qui est américaine mais qui est bénévole dans un hôpital au moyen orient. Quand cet endroit est attaqué, elle est la seule à sortir vivante des décombres mais elle ne peut que compter sur elle-même. Elle sait que si les hommes qui ont fait exploser l'hôpital la retrouve… Ils la tueront mais la torturons avant. Et voilà qu'au bout de plusieurs jours, un homme arrive et lui vient en aide. Elle ne le connaît pas. Il dit s'appelait Hancock et ne lui laisse pas le choix. Il va l'aide mais à quel prix? (suite sur le blog)
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Un excellent tome après la débâcle du tome 8. Maya Banks retrouve son niveau d'écriture dans ce tome que j'ai adoré.
Dans ce tome, il n'est pas question du KGI, même si ses membres interviennent à un moment de l'histoire. Ici, l'histoire tourne autour de Hancock, personnage secondaire, que l'on a pu voir intervenir dans plusieurs tomes de la saga. Tantôt machine à tuer, tantôt capable de gestes de sympathie, il était jusque là difficile à cerner. Alors le voir au premier plan, connaitre ses faiblesses, ses peurs, ses doutes et son passé. On découvre aussi son équipe. J'ai apprécié les personnages de Conrad et Mojo. Quant Honor, quelle femme !!! Elle a de quoi faire pâlir d'envie toutes les femmes du clan Kelly réunies. Courageuse, résiliente, forte psychologiquement, réfléchie… et en même fragile, innocente. L'histoire commence sur une scène choc dans un climat difficile. J'avoue avoir eu beaucoup d'empathie pour Honor, j'ai même eu envie de pleurer pour elle par moment car elle n'est pas épargnée. Même Hancock et ses acolytes ont attiré ma sympathie. Bref, un très bon livre.