Tout ça partait pourtant plutôt bien.
J'avoue d'abord avoir été bluffé par cet univers aussi complexe qu'original. Dans l'inventivité
Clive Barker m'a fait penser à
China Miéville, sur la longueur également.
Au fil des pages ce torrent de créativité vire en marais stagnants dans lesquels j'ai fini par m'engluer, asphyxié par un charabia mystique et fumeux.
Peut-être manqué-je de références philosophiques et théologiques, je l'ai en tout cas terminé dans la douleur et presque avec désintérêt.
Il m'en reste l'impression d'un pétard mouillé.
Commenter  J’apprécie         100