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Critique de BurjBabil
Voilà un petit thriller estival qui se dévore d'un trait.
D'un trait blanc sur une route sud américaine entre nulle part et nulle part.
D'un trait de caractère qui se dessine au fil du roman.
A longs traits de "pisto" dans une auberge rouge chilienne.
Comme un souvenir sur lequel on tire un trait.
Un trait d'union entre deux amies à la vie à la mort.
Une révélation qui arrive comme un trait
Un lourd passé qui impose sa loi trait pour trait.
Cette vaine tentative de trait d'esprit pour dire que c'est un bon roman d'étré.
D'un trait blanc sur une route sud américaine entre nulle part et nulle part.
D'un trait de caractère qui se dessine au fil du roman.
A longs traits de "pisto" dans une auberge rouge chilienne.
Comme un souvenir sur lequel on tire un trait.
Un trait d'union entre deux amies à la vie à la mort.
Une révélation qui arrive comme un trait
Un lourd passé qui impose sa loi trait pour trait.
Cette vaine tentative de trait d'esprit pour dire que c'est un bon roman d'étré.
