Les gens ont voté à droite dans l’espoir que les choses allaient changer mais c’est exactement pareil qu’avant, les Arabes et les Noirs nous enlèvent le pain de la bouche et vendent de la drogue à la sortie de nos écoles.
Il n’y a rien de plus écœurant que la panique d’un matamore réduit à l’impuissance. C’est le visage désossé, c’est la grimace du despote qui feint de ne pas comprendre pourquoi, c’est le dégueulis nauséabond et la terreur du bourreau livré à ses victimes. C’est la bête bornée qui, prise au piège, cherche lâchement à se faire passer pour innocente. Un relent de merde. Un spectacle que je ne conseillerais pas à mon pire ennemi.
Les filles sont un peu trop grasses mais elles savent mieux sourire que nos poupées Barbie.
Ces gens, il faudrait les éliminer à la naissance. À quoi ça sert de les mettre en prison ? De toute façon les juges les libèrent tout de suite et ils recommencent à empoisonner le monde.
Le travail c’est le meilleur antidote contre les idées noires. Les problèmes ne ressurgissent qu’après, quand il n’y a plus rien à faire. On se sent alors comme un type qui vient de sortir de prison et ne sait que faire d’une liberté tant désirée.
Le travail est une déchéance, une répugnante invention pour aliéner les hommes. Cette phrase, je l’ai entendu répéter jusqu’à la nausée par tous les révolutionnaires fils à papa et par un philosophe qui trimait comme un forçat pour se frayer un chemin à coups de théories soporifiques. Se mettre à travailler, c’est une dure décision à prendre, une expérience qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie.
Grâce à mille stratagèmes il réussissait à encaisser plus de fric avec les indemnités de la Sécu qu’en ressemelant des chaussures de mauvaise qualité.
Il faudrait avoir le courage de tout recommencer depuis le début pour savourer à nouveau les émotions de la virginité.