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Citations sur Agatha Raisin enquête, tome 10 : Panique au manoir (48)

Charles devais retrouver Agata à cinq heures à côté de la voiture, dans un parking. La brume s’était levée et un soleil de fin d’après-midi briller. Il la vit s’avancer vers lui et sourit. Son épaisse chevelure était de nouveau d’un brun luisant, et son visage avait été habilement maquillé. Elle portait un ensemble en tweed souple couleur bruyère. Ses très jolies jambes été mise en valeur par des collants fin et une paire d’escarpins neufs. Agatha ne serait jamais une beauté, se dit Charles, mais elle dégageait un puissant magnétisme sexuel dont elle n’était absolument pas consciente.
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Elle avait déjà loué un cottage dans un village du Norfolk : Fryfam. Elle l’avait choisi à l’aveugle, ne connaissant ni le village, ni le Norfolk. Mais c’est là qu’une voyante lui avait prédit que son destin s’accomplirait. Son voisin immédiat, le grand amour de sa vie, James Lacey, avait déserté Carsely sans lui dire au revoir, aussi avait-elle décidé de s’installer là-bas et choisi un village en piquant une aiguille au hasard sur la carte. Un coup de téléphone au poste de police de la ville lui avait permis d’obtenir les coordonnées d’un agent immobilier, elle avait trouvé un cottage à louer, et il ne lui restait plus qu’à vendre le sien et à quitter les lieux.
Mais les acheteurs potentiels ne lui plaisaient pas. Soit les femmes étaient trop jolies – et Agatha ne voulait pas qu’une séduisante créature habite à côté de chez James –, soit elles étaient revêches et désagréables, et elle ne tenait pas à infliger leur présence aux villageois.
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Les gens qui supportaient des domestiques insolents étaient en général radins, se dit Agatha.
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Vaincue, Agatha s'assit sur le canapé à côté de Charles. Si elle était furieuse que les inspecteurs aient regardé son manuscrit, c'était moins parce que cette intrusion la scandalisait que parce qu'elle avait honte de son travail.
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Et votre village du Norfolk, comment le trouvez vous ?
-Bizarre. Il est minuscule et à ce que je vois, une grande partie de le population n'habite ici que l'été, ce qui suffirait à vous faire virer communiste si vous pensez à la pénurie de logements.
- Ah, mais votre maison ici va être vide pendant l'hiver. Voulez vous que je vous trouve une famille de sans-logis ?
- Non, pas du tout, répondit Agatha en réprimant un frisson.
- Je me disais aussi... "
Cette sainte femme de Mrs Bloxby était-elle en train de lui envoyer une pique ? A Dieu ne plaise !
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Agatha Raisin vendait sa maison et quittait Carsely pour de bon.
Ou plutôt, tel avait été son projet.
Elle avait déjà loué un cottage dans un village du Norfolk : Fryfam. Elle l’avait choisi à l’aveugle, ne connaissant ni le village, ni le Norfolk. Mais c’est là qu’une voyante lui avait prédit que son destin s’accomplirait. Son voisin immédiat, le grand amour de sa vie, James Lacey, avait déserté Carsely sans lui dire au revoir, aussi avait-elle décidé de s’installer là-bas et choisi un village en piquant une aiguille au hasard sur la carte. Un coup de téléphone au poste de police de la ville lui avait permis d’obtenir les coordonnées d’un agent immobilier, elle avait trouvé un cottage à louer, et il ne lui restait plus qu’à vendre le sien et à quitter les lieux.
Mais les acheteurs potentiels ne lui plaisaient pas. Soit les femmes étaient trop jolies – et Agatha ne voulait pas qu’une séduisante créature habite à côté de chez James –, soit elles étaient revêches et désagréables, et elle ne tenait pas à infliger leur présence aux villageois.
Elle devait emménager dans sa maison du Norfolk au début du mois d’octobre, et la fin septembre approchait. Les feuilles aux couleurs bigarrées de l’automne tourbillonnaient sur les petites routes des Cotswolds. C’était un été indien aux journées moelleuses et ensoleillées et aux soirées brumeuses. Jamais Carsely n’avait été aussi beau. Mais Agatha était bien décidée à se débarrasser de son obsession pour James Lacey. Fryfam était sans doute très beau également.
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- le lavage du linge sale en famille ne fait pas partie des traditions britanniques.
- Ce n'est plus vrai, objecta Agatha. Nous avons rejoint la grande confrérie des gnangnans.
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Elle détestait qu’on lui fasse remarquer ses lacunes. « Le moment est mal choisi pour ergoter sur les détails littéraires. Ils n’ont pas le droit de fouiller dans mes affaires sans ma permission.
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Charles se dit - et c’est n’était pas la première fois - qu’Agatha avait toute la subtilité d’un rhinocéros qui charge.
(page 249)
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« Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n’en peut rêver notre philosophie », récita Mrs Bloxby.
- Qui diable est cet Horatio ? fit Agatha.
- C’est une citation de Hamlet. Je l’ai sans doute écorchée. Ce que je veux dire, c’est que des choses bizarres peuvent se produire.
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