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Critique de brigittelascombe


Marc Marronnier, un écrivain "mort-vivant des beaux quartiers", "cynique à l'eau de roses" (on apprécie d'emblée le sens de la formule Beigbeder), dresse un lourd constat désabusé sur la passion amoureuse suivie de tendresse avec baisse de désir, puis de désamour. Ce cynique fête même son divorce entre alcool et "connaissances floues.
"L'amour est un combat perdu d'avance" s'alarme l'anti héros de Frédéric Beigbeder (critique littéraire, éditeur et écrivain couronné par le prix Interallié en 2003 pour Windows on the world et le prix Renaudot en 2009 pour Un roman français) dans L'amour dure trois ans.
Désillusions,déprime..."Un divorce n'est jamais léger".
Et s'il rencontrait une gentille "autruche" pour resigner un bail de trois ans? C'est d'une plume sensible,ironique,féroce, que Frédéric Beigdeber fait un tour d'horizon plus profond qu'au prime abord du couple,de l'amour,du sexe,de la fidélité et du bonheur. Cette relecture m'a donné envie de voir le film paru récemment!
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