Bon à part
un roman français, je ne retiens Mr
Beigbeder pour aucun autre de ses livres, et donc celui-là aussi. aucun intérêt et une écriture plus plate que dans ses autres fictions contemporaines.
Bref, comme les journalistes, il a voulu profiter du buzz pour continuer de surfer sur la vague. Je trouve ça ... surtout à l'époque où il est sorti et quand je l'ai lu, 2001 n'était pas loin.
Ça doit être dans l'ADN des publicitaires, surfer sur un message coûte que coûte. D'ailleurs je joue leur jeu ici aussi, puisque j'en parle, bref, je m'arrête là.
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