Intrigué par les critiques du livre qui m'étaient parvenues, je m'étais lancé dans la lecture du mystère entourant
Walter Benjamin. N'étant pas familier de ce grand penseur du siècle dernier, je
le connaissais néanmoins dans les grandes lignes.
Aussi, l'histoire telle que je me la figurais m'évoquait “
La septième fonction du langage” de
Laurent Binet, roman centré sur
Roland Barthes, sa mort inopinée et une mystérieuse découverte sur laquelle beaucoup voulait mettre la main. Un roman que j'avais dévoré.
Mais, le style pompeux et le narration volontairement décousue d'
Aurélien Bellanger ont eu raison de ma patience après une soixantaine de pages.
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