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sur 139 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Rejeton de la bonne bourgeoisie bordelaise, Romain d'Astéries s'est engagé dans la profession de professeur de français, contrairement à ses ancêtres ingénieurs et architectes. Après avoir été reçu au Capes, il a été stagiaire pendant une année scolaire dans un collège du centre de Bordeaux et a suivi en parallèle les cours de l'ESPE (École Supérieure du Professorat et de l'Education), qu'il appelle l'« Institut ». Là, lui ont été inculqués tous les préceptes du pédagogisme le plus avant-gardiste, qu'il a reçus avec délectation car ils étaient en parfaite adéquation avec ses propres idées. En effet, idéaliste, il se rêve en pourfendeur de la bourgeoisie dont il est pourtant issu et en promoteur de tout ce qui peut aller dans le sens de l'égalité, même mal comprise. Pour son premier poste, il a demandé la Guyane, afin de mettre en application ces idées sur un terrain propice. Comme c'est une académie peu demandée, il est sûr de son coup. Malheureusement, l'algorithme qui détermine les affectations commet une erreur incompréhensible mais irrattrapable et il est envoyé dans un village rural au fin fond de l'Auvergne. ● le roman a un ton guilleret qui n'est pas désagréable et l'on suit sans déplaisir les tribulations de Romain dans son village de Chaudezat et dans ses aventures pédagogiques. ● Précisément, la pédagogie véhiculée par l'ESPE, pour caricaturale qu'elle paraisse, est malheureusement très proche de la réalité. L'auteur pourfend par exemple « cette incitation constante à ‘être nous-mêmes' [donnée par l'ESPE aux professeurs stagiaires] et à nous opposer à l'institution, venant de ses représentants qui étouffaient toute contestation ». Il se moque aussi du vocabulaire pédagogiste : « Tes élèves se bastonnent, ils appellent ça un ‘conflit sociocognitif' ! […] Et un chahut au moment de s'asseoir, ça devient un ‘groupe en motricité' », et de sa philosophie : « un bon professeur n'apprenait il pas plus de ses élèves que ses élèves n'apprenaient de lui ? », que Romain admire mais qu'il met difficilement en pratique, car c'est avant tout un théoricien hors-sol déconnecté de la réalité (même s'il pense le contraire et souhaite ouvrir l'esprit des élèves à l'extérieur et à l'altérité) : «— Et voilà un champ de maïs, s'enorgueillit à voix haute Romain en reconnaissant au-delà d'un barbelé les épis de la fameuse céréale. le maïs, vous le voyez dans votre assiette… mais il a bien fallu qu'il pousse, d'abord ! Vous savez, les aliments ne vous sont pas apportés par une cigogne ou un ragon… — En l'occurrence, monsieur, l'interrompit une jeune fille, ce n'est pas du maïs pour les humains, c'est du maïs pour nourrir les bêtes. — Ah bon ? Et comment sais-tu cela ? demanda Romain, sur un ton où la curiosité le disputait à l'agressivité. — C'est le champ de mon père, monsieur. — Ah oui. (Romain déglutit lentement.) Oui, forcément. Enfin, ça reste du maïs, que je sache. » ● En revanche, la principale du collège issue en droite ligne des années 1950 manque cruellement de vraisemblance, de même que la famille roumaine et la petite plaisanterie à laquelle elle se livre. ● du reste, je n'ai pu m'empêcher de penser, dans ce choix de Roumains, que l'auteur avait évité assez lâchement de prendre pour personnages des immigrés extra-européens de peur de ne plus être politiquement correct. ● Même s'il se veut une satire, je trouve que ce récit est simpliste, un peu à la manière d'un roman destiné à la jeunesse. Il se laisse lire, certes, mais avec ses prémices on pouvait faire beaucoup mieux, me semble-t-il.
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Un jeune professeur sort de sa formation rempli de principes et d'idées nouvelles pour enseigner. Il se sent, arriviste, tant pousser des ailes de novateur et d'aventurier qu'il demande une mutation en Guyane. Il se retrouve en première affectation dans un petit village D Auvergne, avec une directrice qui apprécie peu les écarts : une (presque) vieille fille de la vieille école. On devine aisément la fin... L'auteur met en relation, l'enseignement qui a fait ses preuves face à l'innovation (risquée) d'autres façons d'enseigner ; une directrice, gardienne du passé, qui rappelle que l'enseignant n'est pas là pour avoir des idées mais exécuter un programme (!). A l'heure où l'Education nationale a fini d'insuffler des vocations, ce livre oblige à y réfléchir simplement (légèrement ?!). Cette histoire semble banale quand le sujet est plutôt grave.
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L'histoire débute à Bordeaux, lors de l'inauguration d'un pont. Tout le gratin est convié et congratule le jeune architecte, digne héritier du savoir-faire paternel, qui a droit à un bel article dans la presse locale.
Le second fils fait un peu tache : Romain a opté pour des études littéraires et une carrière d'enseignant.
Pour fuir autant le joug parental que des modèles d'enseignements qu'il juge étriqués, il a postulé pour un premier poste en Guyane.

Seulement… un « bug informatique » vient contrarier sévèrement ses projets : Romain se voit affecté dans un petit village auvergnat.

Qu'à cela ne tienne, le jeune diplômé fait contre mauvaise fortune bon coeur. Il postulera à nouveau pour la Guyane l'an prochain ; en attendant il va mettre en oeuvre un modèle pédagogique innovant sous des cieux moins exotiques.

Des expérimentations qui n'auront pas l'heur de convaincre Mme la Principale, qui ne mâche pas ses mots pour lui remonter les bretelles :


« Vous n'apprenez pas. Et comme vous n'enseignez pas non plus, je me demande bien à quoi vous servez. »
« Vous croyez réinventer la pédagogie avec deux neurones. »
« Vous n'êtes pas là pour avoir des idées, mais pour exécuter un programme. »

Mais Romain s'est toutefois fixé des objectifs. Contraint de courber l'échine, il ne lâchera pas totalement l'affaire… et parviendra peut-être même à renverser la vapeur.

Si certains passages sont franchement cocasses, je n'ai pas été pleinement emportée par ce récit.
Je pense qu'en tant qu'enseignante, mes attentes étaient trop grandes. Alors oui, j'ai souri en reconnaissant les grandes idées prônées par l'E.S.P.E. (École Supérieure du Professorat et de l'Éducation), ou plutôt l'I.N.S.P.E. (depuis 2019) exprimées dans un jargon pédagogique qui frise le ridicule, l'histoire est « rafraîchissante », mais perso je suis restée sur ma faim.
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Enseignement- Prof- Humour
C'est le moment de lire "un vrai dépaysement" puisque c'et la rentrée des classes. le jeune Romain souhaite aller enseigner le français en Guyane loin de ses parents et de son frère qui sont architectes de père en fils. Romain a des idéaux, il a une vision toute nouvelle de l'éducation et il est pleins d'ambitions. Mais il va y avoir un bug informatique et il ira non pas en Guyane mais en Auvergne enseigner.
Il va quand même essayer de mettre ses idées et sa nouvelle méthode en application mais ce n'est pas au gout de la directrice.
C'est un roman plein d'humour qu'il faut prendre avec de la distance car c'est assez abracadabrant par moment. C'est un roman qui détend bien et c'est pas mal.
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Bel exercice que ce compte-rendu de première année d'enseignement professionnel effectué par un brillant fils de famille affecté, malgré son choix, dans un collège D Auvergne par un logiciel dont l'algoritme ne peut être modifié par une obstinée secrétaire d'académie .

L'auteur a sans aucun doute amassé une solide documentation concernant les techniques "alternatives" d'enseignement. Il a également accumulé les bonnes réparties _notamment lancées avec humour par une principale de collège bien campée dans sa fonction de régulatrice- coordinatrice d'un collège de l'arrière pays de la République Autonome d'Ambert et de la Vallée de la Dore.
Villégiature secondaire probable, de cet auteur, journaliste parisien, qui récite l'environnement culturel et touristique de la contrée....
Les moyens de transport  _ aleatoires ? Et la trajectoire du car Haut livradoisThiers passe par Lempdes ! Soit un détour de 80 kms...
Les randonnées pédestres dont le chemin de l'Henriette à Auzelle, les écrivains "locaux": Alexandre-Vialatteclass, Gachon, Anglade, (*) sont cités dans ce  dépliant touristique, ainsi que la roborative truffade !
Un peu artificiel quand même !
Du voyage scolaire : échange culturel avec un collège roumain, le voyage en train reste le plus réaliste . Et reposant ? pour nous, lecteurs.

La vision du puy de dome apparait aussi stereotypée et grotesque que celle  du repas roumain décrit .
Selon l'auteur: _ les apéros de comptoir sont : "la chataigne" (vin blanc-châtaigne?), ou jaunes,....  extraits de Gentiane, Salers ou Aveze ? (cette racine qui fait casser les manches de pioche lors de son extraction ).
Autant affirmer que les "Pieds Noirs" se retrouvent autour de tournées de Picon ! (**)
_ Les journaux sont" enfilés sur des cannes " (sic). Or la dernière apparition de ces objets l'a été, pour moi, il y a bien 30 ans," Chez Lulu", au "Bar des Beaux Arts" à Clermont ferrand !
Donc, sympatique roman, besogneux, scolaire, rédigé "avec la participation des étudiants de l'atelier d'écriture de l'université Clermont-Auvergne" ainsi que "la Lantergne des ecrivains" à Mortagne au Perche (61).... Ceci explique cela....

Soit2, 5/5 à 3/5....pas plus...

(*) citons parmi les écrivains locaux contemporains : Aimé Coulaudon (frere du Colonel Gaspart, resistant local).

(**) Picon ou Gentiane : même combat ! Deux amers, "stomachiques", aperitifs... Un seul défaut : trop sucrés...  de plus : "un verre ça va, trois verres , ça va mieux".



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Entre la théorie que l'on enseigne aux nouveaux enseignants et la pratique avec les élèves, il y a un pas qui n'est pas toujours aisé à franchir.

Fils de notables bordelais, Romain d'Asteries 22 ans, professeur de lettres tout juste diplômé, obtient un premier poste dont il ne voulait pas, dans un petit collège rural D Auvergne.

L'interdisciplinarité, la pédagogie de projet, « l'essence de l'enseignement », il est habité par toutes ces grandes notions de pédagogie qu'il compte bien mettre en oeuvre avec ses premiers élèves.

Mais c'est sans tenir compte de la réalité du terrain et du vécu des collégiens de Chaudezat, et ses grandes idées d'ouverture sur le monde peinent à motiver ses troupes comme sa hiérarchie.

Je suis sûre que ce sujet devrait intéresser les néo-enseignants ou du moins ils gagneraient à s'y pencher. Cela leur permettrait certainement de voir le bon côté d'un enseignement en milieu rural et cela ferait beaucoup de bien à nos petits collèges de campagne souvent boudés par l'intelligentsia citadine.

Personnellement, je n'y ai vu que des thèmes galvaudés et quelque peu naïfs et une équipe enseignante très caricaturale qui ne fait pas vraiment honneur à la profession. Seuls les collégiens m'ont paru sympathiques, bien que la réalité me semble assez éloignée de cette vision idéalisée de la jeunesse provinciale.
Au final, rien de nouveau à l'ouest, l'éducation nationale regorge d'idéalistes mais combien vont finalement rester fidèles à leurs convictions ? Clément Bénech soulève cette question très récurrente avec son roman, mais l'exemple de ce jeune professeur m'a paru un peu trop simpliste pour emporter mon adhésion.
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Lu suite à un article très positif dans une revue et à sa mise en évidence dans la vitrine d'une de mes librairies, ce livre est forcément une déception. Je n'ai pas ri et à peine souri, l'histoire n'a pas d'intérêt (Un enseignant débutant fils d'une famille bourgeoise de Bordeaux demande son affectation en Guyane mais est envoyé dans un collège rural D Auvergne. Souhaitant rendre l'élève actif, il multiplie les innovations malheureuses mais finit par organiser un voyage fédérateur) et est sans surprise ni rebondissements.
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Un roman sympathique qui se lit très facilement dans lequel l'auteur oppose jeune enseignant qui sait tout et chargé de pratiques dites innovantes pondues par des élites spécialisées en pédagogie mais bien loin du terrain (pratiques en réalité démagogiques), sensées améliorées le bien-être des élèves, mais qui ne leur font rien apprendre (cf pédagogie de projet, classe inversée, ludification, etc) et de vieux profs qui s'accrochent aux anciennes méthodes d'enseignement, ennuyeuses et rébarbatives, mais qui permettent d'apprendre. Il en conclut que c'est en mélangeant tout cela et en trouvant une espèce d'entre-deux qu'on s'en sort le mieux. Rien de nouveau sous le soleil. L'auteur s'est de plus peu renseigné sur le fonctionnement d'un établissements scolaire : non, on n'arrive pas comme cela dans un établissement pour faire une réunion de 10 minutes le 1er septembre et prendre ses élèves juste après, une rentrée ça se prépare, et pas qu'un peu…, non, on ne peut pas décider comme cela d'emmener ses élèves en ballade ou en voyage car c'est nier la lourdeur administrative de l'enseignement qui enchaîne complètement les enseignants, non, on ne vas pas manger chez les parents de ses élèves, surtout des collégiens…, etc. Un sujet très peu travaillé et bâclé qui empêche d'adhérer sans grosses réserves au propos et à l'histoire car cela les rend très peu crédibles.
Et, pour information, sur le terrain, c'est plutôt l'inverse qui est observé : de jeunes profs qui veulent revenir aux valeurs jésuites bien ancrées en France (mérite, classement au quart de point près, glorification des élites, oubli volontaire de ceux qui ne rentrent pas dans les cases, etc), les vieux profs, eux, font ce qu'ils peuvent pour aider les jeunes et les valoriser mais il est vrai qu'ils sont aussi blasés par le système et désespérés devant les stupidités pondues par leur ministère de rattachement et le peu de savoir des nouvelles recrues. Demandez à vos enfants quels sont leurs profs préférés : ce sont souvent les vieux profs qui sont cités, pas les jeunes…
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Aujourd'hui je vais évoquer Un vrai dépaysement le nouveau roman de Clément Bénech. Cette histoire est celle d'un jeune professeur idéaliste qui se confronte à la réalité du terrain. L'auteur a notamment publié Un amour d'espion.
Le personnage principal s'appelle Romain d'Astéries. Il est issu d'une lignée bordelaise bourgeoise d'architectes et d'ingénieurs. D'ailleurs, le roman débute à l'été 2013 avec l'inauguration d'un pont sur la Garonne oeuvre du frère de Romain. Pour sa part, ce dernier est un peu en rébellion et n'a pas suivi le chemin familial tracé au grand dam de ses parents. Il vient de terminer sa formation de futur professeur, il attend son affectation. A l'insu de sa famille il a demandé à partir en Guyane, avide de lointains, d'exotisme et de distance avec ses proches. Il est confiant quant à la possibilité d'être envoyé à Cayenne ou dans un village reculé de forêt. Pourtant le logiciel d'affectation de l'Éducation Nationale en décide autrement et il va devoir passer une année en Auvergne dans le collège du village de Chaudezat. La déception de Romain est immense, sa mère est soulagée de cette nouvelle. le jeune homme sans permis part en transport en commun pour cette destination rurale. Sur place il trouve un logeur et s'installe dans un ancien couvent. Il lui confie sa déception d'arriver ici : « je m'apprêtais à rencontrer des gamins pauvres, certes, mais riches de mille histoires, de mille vies que je ne vivrai jamais... Donc non, je ne peux pas me dire vraiment dépaysé, monsieur Grange. Physiquement, je suis avec vous, mais en pensée, je suis à sept mille kilomètres d'ici, en pleine jungle. » Lors de la rentrée il se lie d'amitié avec le nouveau professeur d'éducation physique pour qui c'est également son premier poste. Avec sa complicité Romain va tenter des expériences d'interdisciplinarité, mettre en application les innovations pédagogiques dont il a entendu parler pendant sa formation, inciter les élèves à penser par eux-mêmes, remettre en cause les systèmes de notation traditionnels. Il se confronte à la proviseure, leurs deux visions sont fort éloignées, les querelles pédagogiques sont évidentes entre ces deux générations. Force est de constater que : « l'acclimatation de Romain à Chaudezat fut rapide : en quelques semaines, avant les vacances de la Toussaint, il trouva ses marques de jeune professeur, avec l'aisance qu'il avait patiemment acquise comme stagiaire à Bordeaux. Mais il n'était plus stagiaire, et entendait le faire savoir. » Un vrai dépaysement couvre une année scolaire dont l'acmé sera un voyage en Roumanie avec une de ses classes dans le cadre d'un échange avec un établissement d'une ville jumelée à Chaudezat. Pourtant comme d'autres initiatives de Romain celle-ci a été compliquée à mettre en oeuvre. Mais à force d'opiniâtreté, de persévérance et de gentille manipulation il parvient à ses fins tout en acceptant que la hiérarchie se réapproprie son idée. Il dément ainsi ces mots prononcés à son égard en début d'année : « Django Reinhardt a révolutionné la guitare avec trois doigts. Vous, vous croyez réinventer la pédagogie avec deux neurones. J'ai peur que vous ne voyiez plus grand que vous ne l'êtes, d'Astéries. » le roman raconte plusieurs épisodes et montrent l'évolution de Romain qui finalement ne renouvelle pas sa demande pour la Guyane et décide de rester dans le Puy-de-Dôme.
Un vrai dépaysement est un roman un peu caricatural, les comportements des personnages sont attendus, les théories pédagogiques évoquées sont certes intéressantes mais peinent à donner du rythme au récit romanesque. le protagoniste idéaliste est bourré de stéréotypes, ses erreurs notamment vis-à-vis de l'élève dont le père est roumain sont navrantes.
Voilà, je vous ai donc parlé d'Un vrai dépaysement de Clément Bénech paru aux éditions Flammarion.

Lien : http://culture-tout-azimut.o..
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Un rêve d'équité à l'épreuve de la ruralité, il rêvait d'exotisme et d'engagement sur terrain en Guyane il se retrouve en Auvergne. Enseigner face monde actuel, un ton léger qui se laisse dérouler, plutôt engageant mais pas assez profond, malgré les valeurs qu'il dit on ne sent que les mots qui traversent et n'actionnent pas. Un roman qui se lit facilement, qui n'est pas désagréable mais je recherche plus que du se laisse dire, il reste prudent et manque un peu de reliefs.
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