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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
1940 : Paris est occupé par l'armée allemande.
Blanche et Claude Auzello rentrent de Nice où ils s'étaient réfugiés. Ils reviennent à Paris pour reprendre leurs fonctions.
Claude est directeur au grand hôtel du Ritz et Blanche l'accompagne dans son travail .
L'hôtel est occupé par les hauts gradés de l'armée allemande. Claude continue à assurer son travail de façon polie.
Les chapitres s'alternent en donnant alternativement la vision des évènements à Claude et à Blanche.
- Avec Claude, les faits sont racontés à partir de 1923, jour où il a vu débarquer Blanche dans l'hôtel Claridge où il exerçait les fonctions de sous-directeur.
Blanche débarquait d'Amérique, voulait faire du cinéma et avait surtout rendez-vous avec un prince égyptien qui ne semblait pas venir.
- Avec Blanche, son point de vue nous est donné à partir de juin 1940 où elle découvre Paris et le Ritz envahi par les Allemands
Tout au début et entre les lignes, un personnage, Lily s'intercale et va avoir toute son importance.
En 1923, en toute hâte, Claude et Blanche se marient.
Trop hâtivement sans doute car les idées conservatrices de Claude et le désir d'émancipation de Blanche vont s'entrechoquer. le couple ne se fonde pas sur des bases enviables et pourtant, ils restent ensemble étant donné qu'on les retrouve au début de la guerre, à la fin et jusqu'en 1969 en couple où Lily reprend la parole comme au début mais tragiquement cette fois .
Blanche avait bien des choses à cacher sur ses origines, en arrivant en France. La guerre sera donc une période très troublée dans sa vie et dans la vie de Claude également. Ils seront loin de collaborer avec l'ennemi.
le roman aurait pu me plaire mais la narration est trop froide, trop dénuée de sentiments vibrants.
La scène du Ritz est éblouissante de luxe,mondaine, bien loin de ce que j'aime.
En voyant le nom de l'auteure, je pensais qu'elle était française. Et bien non, elle est américaine et a déjà écrit deux romans qui avaient attiré mon attention.

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Ce roman est basé en partie sur une histoire vraie. L'auteure a voulu utiliser un bâtiment connu pour construire son récit autour et en faire son pilier, sa vedette. Les personnages principaux, Blanche et Claude Auzello, les propriétaires du Ritz ont réellement existé. Cependant, n'ayant pas réussi à trouver beaucoup de renseignements sur eux - sur leur personnalité, leur entourage, comment ils étaient vraiment dans la vraie vie, etc. - elle s'est servie de son imagination pour leur développer une attitude, une mentalité et tout ce qui va avec. C'est donc très intéressant de lire un roman qui se déroule pendant l'Occupation à Paris, plus particulièrement au Ritz car le décor fait changement de ce qu'on a l'habitude de lire. Ce n'en est pas plus doux pour autant...l'horreur et la mort planent, tel un vautour.

Le récit se raconte sur deux époques: au début des années 1920, lorsque le couple se rencontre. C'est dans ces chapitres que l'on découvre à quel point Blanche Ross (américaine) est exubérante, frivole et aime faire la fête. Elle a un penchant pour l'alcool. Claude, quant à lui, est un homme beaucoup plus sérieux, travaillant, qui tient beaucoup aux apparences et aux bonnes manières, toujours aux petits soins pour ses clients. Pour lui, le Ritz est toute sa vie. L'autre période se déroule de 1940 à 1945, pendant l'Occupation. Les chapitres alternent entre nos deux personnages. Ils ont leur propre vision des événements, chacun leur tour. le couple devra surmonter plusieurs embûches, d'autant plus que les nazis ont fait de leur hôtel leur quartier général ! Au fil des années, la relation entre les deux s'étiolera, ils se décevront constamment l'un l'autre. Peut-être ont-ils simplement oublié comment communiquer et comment se faire confiance à nouveau. Leur vie a beaucoup changé. Ils doivent jouer un rôle en permanence et cela devient lourd à porter...

Au Ritz, on voit défiler Ernest Hemingway, Coco Chanel, Göring, Marlene Dietrich...

Un roman agréable à découvrir qui nous montre une autre facette de Paris, celle des artistes pendant la guerre. Il comporte peut-être quelques lourdeurs mais cela n'entache pas le plaisir de lecture. Ce n'est pas mon préféré de cette époque mais quand même bien aimé !
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Mais quel diable de projet avait donc en tête Mélanie Benjamin en écrivant cette histoire ?
Le titre de l'ouvrage induit le lecteur en erreur. Car c'est un tel mêli-mêlo de tout et n'importe quoi qu'on ne voit pas très bien où elle voulait en venir.

Il ne s'agit pas de l'histoire du Ritz, même si l'on y évoque, très brièvement, certaines des célébrités qui ont fréquenté le palace, même si l'on y voit les officiers nazis investir les lieux et s'y installer en terrain conquis, le gros Göring y promenant sa fastueuse bedaine,
pas plus qu'il n'est question de donner une image précise de la vie à Paris sous l'occupation, quand bien même l'auteur emmène ses héros dans certains lieux représentatifs de la capitale.
Ce n'est pas non plus une chronique de la Résistance à Paris, on n'entre pas dans ses arcanes, même si certains faits y sont retracés.
Il y a bien, dans la mesure où l'auteur parle de la Rafle du Vel d'Hiv., quelques considérations sur la judéité, vue par la lorgnette de l'antisémitisme primaire prôné par le nazisme : "on reconnaît le juif à ses cheveux gras, ses yeux de fouine, son nez crochu, ses mains pareilles à des serres".

Et en dehors de cela ? Il s'agit plutôt de raconter et d'imaginer la vie du couple Auzello, dont l'homme était le Directeur du Ritz et consacrait son existence à la grandeur de son précieux palace.
Un couple remarquablement assorti ! Jugez-en par vous même :
Lui, la parfaite caricature du mâle français (telle qu'un américain peut l'envisager) estimant nécessaire, tout en étant très amoureux de sa femme, d'avoir une maîtresse, régulièrement visitée le jeudi soir, au su de son épouse bien entendu ! Quel galant homme ! Il ne manque à ce pauvre crétin de séducteur à la manque que le béret et la baguette sous le bras !
Elle, américaine émancipée, bien sûr, rechignant à exécuter les tâches ménagères, selon le voeu de son macho d'époux, et passant son temps à se repaître des ragots du Ritz, véhiculés par les célèbres voix de Fitzgerald ou autre Hemingway, d'Arletty et Coco Chanel se pavanant aux bras de leurs amants nazis ou par celles des richissimes commères s'emmerdant dignement dans les salons prestigieux de l'hôtel à la recherche d'un possible gigolo !

Et le récit de Mélanie Benjamin de se traîner plus ou moins languissamment pendant les deux tiers de cet ouvrage, sauvé de l'ennui uniquement par le final où enfin se dessine une intrigue digne d'intérêt.
Et où le goût enivrant de la victoire est atténué par toutes les souffrances subies et prend alors une mauvaise saveur d'amertume.

Il était temps ! Mais ce n'est pas suffisant, à mon sens, pour provoquer l'enthousiasme du lecteur.
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Melanie BENJAMIN. La dame du Rutz.

l'‘action de ce roman se déroule essentiellement à Paris et plus exactement, Place Vendôme. Là, se dresse le célèbre Hôtel Ritz, symbole du luxe, de la richesse, lieu de villégiature des grandes fortunes mondiales dont les Rotschild, fréquenté par les grands écrivains dont Ernest Hemingway, où Coco Chanel réside à l'année dans une suite décorée selon ses désirs. Mais en 1940, la France est en guerre et les allemands, « les boches », « les verts de gris » occupent le pays et ont investi Paris. Les envahisseurs ont réquisitionné le célèbre palace. Claude Auzello est le directeur de ce lieu prestigieux. Il occupe, avec son épouse Blanche une petite suite sur son lieu de travail, afin d'être à la disposition des clients et de l'occupant, jour et nuit....

Nous suivons l'état-major allemand dans ses orgies, ses bals, ses repas. Claude, de main de maître va gérer le palace et surveiller les allées et venues, de son épouse, un peu tête en l'air, indépendante, insoumise et rebelle, épier l'état-major allemand. L'ambiance parisienne, avec sa légèreté a complètement disparue. Il faut respecter le couvre-feu, raser les murs, se faire le plus discret possible. Mais certaines voix s'élèvent pour s'opposer à l'ennemi. Que vont donc faire notre couple, Claude et Blanche ? Il semble que Claude mène une double vie. Il sort très souvent la nuit, pendant que Blanche fait la fête avec son amie Lily le palace est une véritable ruche où s'affichent toutes sortes d'êtres, des riches, des allumeuses, des américains, et les grands dirigeants de l'Etat-Major allemand…. Au cours du récit, nous allons croiser des résistants, des collaborateurs et ceux qui quittent le navire, les fuyards….

Ce roman nous décrit l'ambiance régnant dans la capitale, et en particulier dans les hôtels de luxe hébergeant les forces occupantes. Nous rencontrons de nombreuses personnalités politiques, du monde littéraire, du cinéma, de la chanson, de la mode…. Derrière toute cette faune, des hommes, des femmes vont s'élever et s'opposer à cette occupation en agissant dans l'ombre. Oui la résistance agit dans la clandestinité…Mais que peuvent donc bien faire tous ces hommes, ces femmes pour mener un vrai combat contre les « boches » ? Quelle sera l'attitude de Claude, de son épouse et comment réagiront les occupants ? Quel est le secret de Blanche, l'épouse de Claude depuis plus de quinze ans et qu'il ignore????

Ce roman ne me satisfait pas totalement. Bien que la base soit la véritable histoire du couple Auzello, couple qui a régné sur le Ritz, pendant plus de quarante ans, il y a trop de fiction, de clichés égratignant les français et les parisiens. L'ambiance est assez délétère.
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Dans La Dame du RitzMelanie Benjamin choisit de traiter de l'occupation allemande à Paris en 1940 d'un point de vue original puisqu'elle situe son intrigue dans l'un des plus beaux palaces de la place Vendôme: le Ritz. Blanche Auzello y est la femme du directeur, Claude. Il forme un couple plutôt dysfonctionnel. Elle est américaine, très libre et Claude aimerait parfois que sa femme soit « plus française ». Lorsque l'Occupation allemande survient, Claude et Blanche vont devoir faire des choix cruciaux et dissimuler leurs secrets.

C'est un roman qui va me donner du fil à retordre pour vous donner mon avis. Il y a d'abord des choses qui m'ont presque ennuyée. Il y a clairement un problème de rythme. On suit le couple de Claude et Blanche dès leur rencontre au Claridge par un jeu de retours en arrière. J'ai apprécié cette alternance dans le roman mais il m'a manqué un petit quelque chose pour m'attacher aux personnages qui m'ont paru distants et froids. Je n'ai pas ressenti ni amour ni complicité entre eux deux et c'est bien dommage car l'auteur nous en parle comme d'un couple passionnel. Les retours au « présent » c'est à dire sous l'occupation allemande font perdre du rythme à l'intrigue puisqu'au départ, il ne se passe grand chose. On ne ressent pas forcément le côté historique du roman qui reste, selon moi, esquissé. J'aurais aimé que l'intrigue soit plus dense de ce côté-là.

Le personnage de Claude, le mari de Blanche m'a horripilée. C'est un macho pathétique, qui avoue à sa femme qu'il a des maîtresses et qu'il en est ainsi en France. Il a beaucoup de défauts et j'avoue avoir du mal à comprendre le choix de Blanche ce qui me conforte dans le portrait de ce couple plutôt bancal. C'est un vrai imbécile, si je puis me permettre et il n'a rien pour plaire. Il se révèlera seulement à la fin du roman.

La dernière partie du roman est à l'inverse passionnante et j'ai dévoré les 150 dernières pages du livre. Les personnages vont devoir faire des choix personnels difficiles et l'auteur y met une telle passion, une telle densité que l'on se sent entraîné à leur suite. On va enfin découvrir les vrais visages de nos personnages, leurs secrets respectifs et l'Histoire avec un grand « h » entre enfin au coeur du roman.

« La Dame du Ritz » est un roman dont je sors mitigée. J'ai trouvé qu'il traînait parfois en longueur. le couple Claude/Blanche m'est apparu trop dysfonctionnel pour que je m'y intéresse vraiment et la densité historique n'était pas vraiment au rendez-vous. Seule la fin rachète le livre.
Lien : https://carolivre.wordpress...
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La dame du Ritz, écrit par Mélanie Benjamin, romancière américaine, retrace dans un livre à la fois romancé et inspiré de faits historiques, la vie d'un couple réel, Blanche et Claude Auzello, dans le Paris de la première moitié du XX° siècle, lui étant le Directeur du célèbre hôtel Ritz lors de la seconde guerre mondiale.

L'histoire commence dans le Paris des années folles. Claude, alors directeur adjoint d'un grand hôtel parisien ( le Claridge ) fait la connaissance de Blanche, jeune actrice américaine juive, venue en France à la recherche d'aventures. Ils se marient et font carrière ensemble même si Blanche reste seulement l'épouse de Claude. Lui devient le directeur du Ritz, gère l'hôtel pendant qu'elle le ‘'vit‘' au rythme des clients fortunés, et couronnés qui le fréquente. Petites et grandes histoires, elle sait tout ce qui se dit ou ne dit pas au Ritz. Scott Fitzgerald, Ernest Hemingway, les Rothschild, le duc et la duchesse de Windsor, Coco Chanel sont le quotidien de ce couple atypique.

Mais les temps changent, et la preste brune envahit peu à peu l'Europe. Claude mobilisé pendant la drôle de guerre, quitte Paris pour Nîmes, accompagné de sa femme. A leur retour en Juin 1940, ils découvrent un Paris métamorphosé, occupé par les allemands comme l'est le Ritz, leur maison, qui est réquisitionné par la Luftwaffe pour en faire son quartier général et la résidence de ses hauts dignitaires. On y croise alors Goering, von Stupnagel, von Dincklage, qui y règnent en maitres absolus.

Dans le Paris des rafles, des étoiles jaunes, Blanche se révolte et ne comprend pas Claude qui se plie à ces nouveaux locataires. La distance s'installe entre eux au fil de ces années sombres. Chacun s'enferme dans ses mensonges, ses secrets, ses débauches… Sans se confier à l'autre, chacun va mener son combat et entrer en résistance. Ils iront jusqu'au bout de leurs désillusions jusqu'à ce jour terrible de Juin 1944 ou Blanche commet l'irréparable, le geste de trop.

Ils vivront la nuit qui suit comme si ce devait être la dernière, la nuit où tout doit être dit, une nuit de rédemption et de communion dans l'attente de l'inévitable, l'arrestation puis la torture de Blanche par la Gestapo. L'arrivée des Alliés dans Paris la sauvera d'un destin funeste…

Ce livre c'est aussi le roman sur l'opposition de deux cultures, l'une française, judéo chrétienne européenne, faite de traditions, de non-dits, l'autre américaine, ouverte, à qui tout semble possible, tout en étant puritaine. Deux mondes qui semblent ne pas se comprendre, ne pas pouvoir se parler.

Si le livre n'évite pas quelques clichés sur la France, ses traditions, sa culture, il est néanmoins passionnant car il nous faire découvrir un couple atypique, semblant voué à l'échec, qui rencontre l'histoire et va les sauver. Il montre qu'aù delà des apparences, la profondeur de deux êtres peut être un vrai ferment d'unité pour peu que l'on s'ouvre à l'autre.

Bonne lecture !
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Le nom Ritz vous évoque t il quelque chose?
Oui bien sûr ?
Ce roman nous raconte l histoire d un couple de résistant dans cet hôtel où monsieur exerce la fonction de directeur
Un livre de plus lu de ma part mais qui ne me laissera pas un grand souvenir
Certes c est un témoignage intetessant de ce qui se tramait dans cet hôtel où il fallait être au service des nazis mais sans plus.
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j'ai plutôt aimé ce roman.
Cependant je l'ai trouvé assez inégal.
J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire au départ. On suit le retour au Ritz de Claude et Blanche, en 1940, et l'installation des haut dirigeants nazis dans le palace. La couple va vivre l'Occupation chacun a sa manière.
En parallèle, il y a des ellipses qui nous en apprennent plus sur le couple atypique formé par ces deux personnages.

L'auteure s'est inspirée de la vie du couple Auzello, qu'elle a romancée car on ne sait pas grand chose sur eux.
Je pourrai reprocher à ce livre un manque d'émotion, le recit est assez factuel et Blanche n'est pas un personnage très charismatique. Je m'attendais à ressentir plus de choses au cours de la lecture.
Par contre j'ai dévoré les 150 dernières pages, qui sont beaucoup plus addictives.
Malgré ce rythme en dent de scie, je suis contente d'avoir lu ce livre car j'ai appris beaucoup de choses sur ce palace mythique et sur Blanche Auzello dont je n'avais jamais entendu parler.
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Le ritz hotel de luxe pendant l'occupation, vu par le couple gérant de l'Hotel.
Les allemands arrivent et s'installent dans l'hotel
Les employés s'adaptent, collaborent , partent ou resistent.
un lvre avec quelques longueurs, j'ai eu du mal à rentrer dans la vie de ce couple amoureux qui se parlent peu.
Une bonne description de la collaboration
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Dans la dame du Ritz, nous suivons en alternance le couple Auzello, Claude et Blanche, qui ont réellement existé, et qui géraient le grand hôtel avant la seconde guerre mondiale mais également pendant l Occupation, qui va clairement changer la clientèle. Il leur faudra à présent composer avec les demandes des officiers et soldats nazis. Dans ce décor feutré et luxueux, Claude nous livre ses impressions à partir de leur rencontre, tandis que Blanche nous livre les siennes à partir du début de la guerre.

La première partie du roman ne m'a pas plu, elle m'a même plutôt ennuyée. J'ai trouvé certains passages poussifs ou peu subtils, manquant d intérêt ou de fluidité. Les personnages manquent également d épaisseur et ne sont pas très attachants. Par la suite, l auteure change de direction, lorsque l un et l autre des protagonistes décident de rentrer en résistance à la mesure de leurs moyens, mais à l'insu de leur conjoint. d'autres évènements viennent perturber la mécanique bien huilée du palace, les personnages deviennent plus intéressants et la lecture s avère plus agréable. Sans être un roman déplaisant, il reste néanmoins dispensable au vu du large choix de littérature qui traite de la même période.
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