Sugar bowl, tome 1 : Sugar Daddy

C’est l’un de ces sourires sans filtre, absolument authentique, dans lequel elle se donne à cent pour cent.

Et putain, c'est juste magnifique.

C’est l’un de ces sourires sans filtre, absolument authentique, dans lequel elle se donne à cent pour cent.
Et putain, c'est juste magnifique.

C’est l’un de ces sourires sans filtre, absolument authentique, dans lequel elle se donne à cent pour cent.
Et putain, c'est juste magnifique.

Infiltrer.
Tuer.
Recommencer.

À quoi ressemble une " sugarlation " ( Un mélange de " sugar " et de "relations" ) typique ?

Eh bien, c'est un contrat. Écrit et signé, dans lequel tout est stipulé. Le Sugar Daddy indique clairement ce qu'il souhaite obtenir de sa Sugar Baby. Celle-ci peut accepter de venir vivre chez lui pour lui tenir compagnie, ou simplement voyager avec lui. Leur relation peut se limiter à un dîner par semaine. En échange, le Daddy lui promet des biens matériels. De l'argent, un remboursement des frais de scolarité, une voiture, des voyages, n'importe quoi.

Bref, le Sugar Daddy paie les services de sa Sugar Baby.

Je suis un peu surprise de me voir aussi bien jouer le rôle de la séductrice à l’aise dans son corps et dans sa tête.

C’est l’un de ces sourires sans filtre, absolument authentique, dans lequel elle se donne à cent pour cent.

Beck North, le célibataire le plus en vue de ce bâtiment, s’est acoquiné avec une fille qui porte des T-shirts et des Converse.

« Comment pourrai-je jamais dépasser tout ça ?
Que pourrais-je bien faire pour remédier à la situation ?
Mais putain, comment je fais pour ne plus avoir mal ?
Et là, la réponse me vient immédiatement.
Presque trop facilement.
Un simple mot, tout seul et pourtant tellement juste.
Meurtre.
Il apparaît comme en flash dans ma tête. Comme un courant électrique qui le cramerait direct dans mon cerveau. Je sais que c’est la seule chose à faire, sans l’ombre d’un doute.
Je vais faire payer à Jonathon Townsend ce qu’il m’a fait subir. »

La sensation de son membre qui entre et sort de mon corps, la friction et les sons de notre étreinte, l’odeur de son parfum mêlée à celle des bougies soufflées, j’en ai la tête qui tourne de désir. J’ai faim de lui, de le sentir jouir, et je ressens un besoin quasi sauvage de prendre mon pied aussi. C’est lui qui crée ces sensations en moi et, apparemment, il est le seul à en être capable.