>
Critique de Totophe17
Dès son enfance Augustin est passionné par l'archéologie. Il aime se promener dans les galeries du muséum d'histoire naturelle . Mais il fait d'étranges cauchemars dans lesquels se trouvent l'homme-ombre qui effraie le jeune garçon.
Devenu adulte, Augustin est un chercheur en paléontologie. Son amie Judith lui permet de rencontrer le professeur René dont il a lu tous les livres et étudié les travaux. En fait, il l'a croisé de nombreuses fois dans sa jeunesse quand il déambulait dans les galeries du muséum.
Augustin est toujours hanté par l'homme-ombre et il découvre qu'il n'est pas le seul, un chercheur russe s'étant intéressé à ses hominidés pouvant être une résurgence de notre passé, de nos ancêtres, de ces hommes sauvages.. Il va tout plaquer et partir à la recherche de ces hommes perdus, à la recherche de son destin.
Frédéric Bihel, pour chaque chapitre donne la parole à un des personnages, ce qui permet d'avoir différents points de vue mais jamais celui d'Augustin. Chacun nous donne sa perception d'Augustin et de sa quête.
La BD de Frédéric Bihel est un hommage à Kipling, Verne et Hergé, en particulier pour "Tintin au Tibet". L'ouvrage est truffé d'indices, de repères, de clins d'oeil plus ou moins grossiers ou visibles. On peut partir à la recherche des indices et trouver des allusions ou des hommages, à Tintin (Augustin), au professeur Tournesol (Professeur René), au capitaine Haddock (le capitaine avec son goût pour les alcools forts et une allusion à son prénom Archibald), à Tchang (Atesh), à l'abominable homme des neiges, à Milou (le chien d'Atesh mi-chien, mi-loup et appelé Half-Wolf)...
Au delà de la recherche des traces de Tintin, j'ai adoré le scénario et la présentation et le déroulé à plusieurs voix. J'ai beaucoup apprécié le graphisme et le choix des couleurs. J'ai eu une certaine fascination pour les gros plans sur les visages et les regards : on se sent attiré par eux comme entraîné vers un monde intérieur, en particulier pour Augustin et les yeux bleus océan du capitaine.
Frédéric Bihel nous permet de découvrir ce monde onirique, cette quête pour peut-être retrouver l'enfant qui est en nous et nos rêves. Augustin va au bout de sa quête, au bout de ses rêves.
Un bon moment de lecteur, en découvrant une autre facette d'un auteur dont j'avais lu la série "L'or".
Devenu adulte, Augustin est un chercheur en paléontologie. Son amie Judith lui permet de rencontrer le professeur René dont il a lu tous les livres et étudié les travaux. En fait, il l'a croisé de nombreuses fois dans sa jeunesse quand il déambulait dans les galeries du muséum.
Augustin est toujours hanté par l'homme-ombre et il découvre qu'il n'est pas le seul, un chercheur russe s'étant intéressé à ses hominidés pouvant être une résurgence de notre passé, de nos ancêtres, de ces hommes sauvages.. Il va tout plaquer et partir à la recherche de ces hommes perdus, à la recherche de son destin.
Frédéric Bihel, pour chaque chapitre donne la parole à un des personnages, ce qui permet d'avoir différents points de vue mais jamais celui d'Augustin. Chacun nous donne sa perception d'Augustin et de sa quête.
La BD de Frédéric Bihel est un hommage à Kipling, Verne et Hergé, en particulier pour "Tintin au Tibet". L'ouvrage est truffé d'indices, de repères, de clins d'oeil plus ou moins grossiers ou visibles. On peut partir à la recherche des indices et trouver des allusions ou des hommages, à Tintin (Augustin), au professeur Tournesol (Professeur René), au capitaine Haddock (le capitaine avec son goût pour les alcools forts et une allusion à son prénom Archibald), à Tchang (Atesh), à l'abominable homme des neiges, à Milou (le chien d'Atesh mi-chien, mi-loup et appelé Half-Wolf)...
Au delà de la recherche des traces de Tintin, j'ai adoré le scénario et la présentation et le déroulé à plusieurs voix. J'ai beaucoup apprécié le graphisme et le choix des couleurs. J'ai eu une certaine fascination pour les gros plans sur les visages et les regards : on se sent attiré par eux comme entraîné vers un monde intérieur, en particulier pour Augustin et les yeux bleus océan du capitaine.
Frédéric Bihel nous permet de découvrir ce monde onirique, cette quête pour peut-être retrouver l'enfant qui est en nous et nos rêves. Augustin va au bout de sa quête, au bout de ses rêves.
Un bon moment de lecteur, en découvrant une autre facette d'un auteur dont j'avais lu la série "L'or".
