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3,33

sur 470 notes
Après le phénoménal succès de "La Bibliothéque des coeurs cabossés " qui se passait aux USA, Katarina Bivald met le cap sur la Suéde , son pays et c'est tant mieux!
De la Suéde , je connais surtout ses auteurs de romans policiers , aussi un bon petit roman de chick-lit à se mettre sous la dent et ce n'est que du bonheur ...
Oui, mais au début, ce n'était pas gagné . Mes copines sid09 et Saiwhisper ayant au final apprécié , j'ai persévéré et comme dirait une des drôles de dames " Je ne le regrette pas " !
Oui au début, les aventures d'Anita ,caissière dans une petite ville, mère célibataire dont la fille part au loin effectuer ses études et qui accuse le coup , ça me laissait froide .
D'autant qu' Anita , décide d'accomplir un de ses rêves de jeunesse , prendre des cours de moto .
[Jusque là , toujours rien ...]
Mais le moniteur d'Anita (38 ans ) , Lukas (29 ans) a les yeux bleus . ♫ [ Bleus les yeux , Lukas a ♫ ] . Et je commence à m'intéresser à l'affaire , j'ai toujours eu un faible pour ...les blousons en cuir .
Et le récit qui était un peu plat commence à s'emballer, des catastrophes à arriver .Le genre de catastrophes qui vous font grandir une femme ...

Dans ce roman suédois, aucune victime à déplorer , juste UN fou-rire de ma part .
Une histoire d' amitiés et jolies réflexions sur la vie (ce qui est important, ce qui l'est moins , etc...), de brioches à la cannelle et de flocons de neige suédois .
Katarina Bivald a écrit un roman plus abouti selon moi, que "La bibliothéque..." , plus personnel , malgré un début un peu plat ...
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C'est un bonbon, un petit plaisir fugace, qu'on se reprocherait même presque, après coup. N'a t-on pas perdu son temps, au détriment de lectures plus denses plus riches, qui laisseront plus de traces. Dépêchons nous d'en dire quelques mots, avant d'avoir tout oublié d'Anita, cette quarantenaire suédoise, déboussolée par le départ de sa fille dans une lointaine ville universitaire.

C'est le début du reste de sa vie: mais qu'en faire? Apprendre à piloter une moto? Prendre les rênes d'une association culturelle moribonde pour organiser une » journée de la ville »? ou faire le ménage d'un appartement pour acariens dépressifs et suicidaires?

Tout est là, il faut s'accrocher pour trouver de l'intérêt au propos. Certes, Anita a quelques gènes communs avec Bridget Jones, mais sans doute moins de reliefs. le personnage suscite peu d'émotions, malgré ses efforts incessants de lutte contre l'entropie (c'est une façon de dire qu'elle fait le ménage dans sa vie : oui décidément ce roman est un manuel de ménage).

Pas non plus de révélations à caractère sociologique sur l'ambiance d'un clochemerle nordique.

A part le titre, qui allumera les régions cérébrales liées à la mémoire, je crains qu'il rne este peu de chose à distance;

Si la posologie est fixe (464 pages), il n'y a pas vraiment de contre-indications, et pas d'effets secondaires. Quant à l'indication : peut être après un thriller bien dense, qui exige un peu de répit.

Il faut juste que je me souvienne de ne pas sauter sur le prochain titre à rallonge de l'auteur, même s'il inclue des promesses de bibliothèque,.

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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J'ai lu ce roman, très intriguée, car il m'a été conseillé par mon mari, dont ce n'est pas du tout le genre de lecture. Je ne sais même pas comment ce livre a atterri dans notre bibliothèque.

C'est un livre criant de vérité et désopilant à la fois. J'ai beaucoup souri pendant ma lecture.

Anita, trente-huit ans, est « une mère célibataire sans enfants ». Sa fille unique part s'installer dans une ville universitaire pour poursuivre ses études, et Anita ne sait que faire de tout ce temps libre… Anita, qui n'a jamais conduit, sa lance dans des cours de moto, se porte volontaire bénévole pour l'organisation de la journée de la ville…

Le style n'est pas littéraire ; nous sommes dans la tête et dans les pensées d'Anita. C'est parfois déroutant. Il n'y a pas beaucoup d'action dans ce pavé (570 pages en livre de poche), mais le lecteur tourne pourtant les pages avec plaisir.

Un bon moment de lecture.
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Les tribulations d'une suédoise qui approche de la quarantaine et tente d'éviter l'ennui au risque de se compliquer la vie.
Cela donne un roman drôle, parfois hilarant. C'est une lecture légère, agréable, de pure détente même si l'on y aborde quelques thèmes délicats comme la mort et la maladie.
Ecrit à la première personne, nous sommes donc sans cesse dans le mode de pensée du personnage principal, Anita, qui n'en finit pas de penser ! Elle analyse sans cesse les réactions des personnes qui l'entourent, le qu'en dira-t-on, et ce qu'elle aurait pu ou devrait faire. J'ai aimé le style détaché et plein d'humour qu'à Anita pour exprimer tout cela. Elle déborde d'énergie et nous redonne la pêche.

Entre crise de rire et crise de larmes, on suit la vie quotidienne de vendeuses dans un supermarché d'une petite ville, on entre dans la moto-école, un relai pour motard, une maison de retraite, un bar de centre-ville avec ses habitués, et on croise une floppée de personnages hauts en couleur et fort attachants. Tous essaient de vivre, de s'en sortir, et peu croient encore à la réalisation possible des rêves.
Anita, elle, voudrait y croire. Parvient-elle seulement à se berner elle-même ou bien va-t-elle finir par réaliser un de ses rêves ?

Après « la bibliothèque des coeurs cabossés », l'auteur nous propose ici un roman plus enjoué et dynamique, en plein coeur d'une petite ville de Suède. Une atmosphère bien différente mais tout autant captivante. Qu'en sera-t-il pour le prochain roman ?
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Une jolie histoire à siroter dans le jardin en un week-end. Katrina Bivald trouve un ton juste entre légèreté et franchise pour nous mettre dans la peau de son héroïne Anita.
Un joli récit pour montrer qu'il n'est jamais trop tard pour accomplir ses rêves de jeunesse et un réel optimisme pour un quarantaine joyeuse !
Lien : http://www.liresousletilleul..
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Une lecture fort sympathique. J'ai bien aimé le ton de l'auteur pour raconter les mésaventures d'Anita après le départ de sa fille adulte. C'est léger et décalé, parfait pour passer un bon moment
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Après avoir adoré "la bibliothèque des coeurs cabossés", j'ai sauté de joie en voyant ce titre sur les rayons de ma médiathèque.
Sauf que je n'ai pas du tout accroché.
Tout m'a semblé fade et long.
Anita est une maman solo de 38 ans qui travaille dans un supermarché. Sa fille rentre à la fac et quitte le nid familial. Anita se sent désoeuvrée. Elle qui a consacré toutes ses heures de libres à sa fille pendant 19 ans.
Elle compte les heures qu'elle doit tuer, meubler, occuper.
Se retient d'appeler sa fille au téléphone.
Et au détour d'une bière partagée entre copines, elle se décide à réaliser ses rêves de jeune fille.
Prendre des cours de moto.
Avoir une maison.
Etre indépendante.
Quelques bières plus tard, elle rajoute se trouver un mec.

En fait je n'ai pas adhéré au postulat de départ que l'héroïne s'ennuie au point d'enfiler tout doucement son pull pour que le temps passe plus vite. J'ai trouvé que c'était exagéré, que ça manquait de crédibilité (même pour un chick lit). 38 ans, on a la vie devant soi. Sa fille n'est pas morte. En plus elle travaille même si son job n'est peut être pas le plus palpitant. Elle a un réseau d'amis et collègues.

J'ai persévéré dans ma lecture en me disant que j'avais adoré son premier livre, que des copines avaient bien aimé et qu'il finirait pas y avoir des choses intéressantes ou passionnantes. Mais il ne se passe vraiment pas grand chose dans cette histoire.

Bref déçue.
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Décidément, je n'ai pas de chance avec mes choix de lecture en ce moment !
Après « Peine perdue » d'Olivier Adam, deuxième mauvaise pioche avec « le jour où Anita envoya tout balader » de Katarina Bivald.
Heureusement que ces livres ont été empruntés et non achetés, sinon, je l'aurais mauvaise.
J'avais beaucoup aimé « La bibliothèque des coeurs cabossés » du même auteur et je me faisais donc une joie de lire celui-ci.
Hélas, il n'en a rien été : lecture fastidieuse ; description de l'apprentissage de la moto répétitive ; états d'âme d'une mère dont l'enfant quitte le nid sans aucun intérêt ; rien ne m'accroche.
J'envoie donc " balader " ce livre qui m'ennuie et je passe à autre chose.
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J'avais modérément apprécié La bibliothèque des coeurs cabossés, y trouvant des longueurs et aimant en fait surtout l'univers de livres qui y était décrit.
Je craignais d'avoir le même ressenti avec le jour où Anita envoya tout balader. Pourtant, j'ai beaucoup plus accroché à ce livre-ci de Katarina Bivald.
Les personnages sont attachants et émouvants, avec leurs qualités et leurs défauts qui leur vont si bien.
Je ne pourrai pas dire que c'est un grand livre, mais c'est un livre qui fait du bien et ce n'est déjà pas mal ;-).
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Anita, jeune mère célibataire se retrouve comme une âme en peine quand sa fille quitte le domicile pour entrer à l'université.
Sa vie tournait jusque là autour de son travail, peu excitant, dans un supermarché, et s'occuper de sa fille.
Après un passage à vide, elle repense à ses rêves de jeunesse et s'inscrit sur un coup de tête à des leçons de conduite de moto: première étape d'un changement de vie?
Elle a à peine 40 ans, une petite vie étriquée et sans projet: arrivera-t-elle à se réaliser, à vivre pour elle?
A tomber amoureuse? A changer de métier? A renouer avec sa mère...à rattraper tout ce qui a été mis de côté pendant 18 ans?
Le style est plaisant, il y a une note d'humour, un trait de réflexion sur un moment de vie auquel on peut être confronté: se retrouver à vivre seul.
Bonne lecture sans prise de tête ... avec le même humour que dans 'La bibliothèque des cœurs cabossés'
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