Je ne voudrais effrayer personne - parce que la connaissance du latin n'est en rien indispensable pour lire et apprécier ce roman fleuve et les nombreux méandres de sa construction - mais quand la situation devient un peu graveleuse quelques fois dans leur moitié de roman, les personnages Kircher et
Schott passent au latin, par pudeur.
En tant que parfait cuistre anatolefrancien, je dis fraîcheur, je dis plaisir, je dis joie, je dis merci.
Commenter  J’apprécie         72