J'aime l'écriture de
Richard Bohringer et il me promène à chaque fois dans les méandres de ses pensées.
Pensées bien souvent sombres ici qui nous parle de son dégoût du monde voué au culte de l'argent.
On découvre des personnages attachants, au comptoir d' "Au bout du monde", avec leurs failles, leurs ivresses, celles dues à l'alcool, mais aussi à la vie elle-même.
Ils nous parlent d'un monde tel qu'ils le souhaiterait, et de la vie qui, ils le voudraient tant, leur accorde encore la possibilité de les faire rêver.
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