La première partie m'a, de loin, plu davantage. C'était vraiment intéressant d'être transportée dans les années 50 pour y découvrir la vie (pas toujours rose!) dans un petit centre psychiatrique parisien. Malheureusement, la seconde partie a brisé le rythme que j'étais venue à apprécier.
Toutefois,
Cathy Bonidan a une belle plume et j'ai très hâte de lire
Chambre 128, que je me suis procuré récemment.
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