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Critique de Alyenor
Parce que ses parents ne sont pas vraiment disponibles (sa mère en voyage d'affaires, son père en train d'écrire un livre), Léna doit aller à l'école seule. Sur le chemin, elle se rend compte que la ville se transforme et devient maléfique. Des ennemis la traquent. Elle doit de battre et ruser pour arriver jusqu'à l'école.
Difficile de résumer cette histoire sans trop en dévoiler. Je voudrais juste dire que, comme toujours, l'écriture du regretté Pierre Bottero est sublime. C'est ici un roman graphique qu'il nous propose, les images illustrant parfaitement le texte. On comprend très vite que Léna ne se bat pas seulement contre des monstres venus d'un autre monde mais contre quelque chose de plus fort et de plus terrible. La décision finale de la petite fille donne toute son ampleur à l'histoire.
Difficile de résumer cette histoire sans trop en dévoiler. Je voudrais juste dire que, comme toujours, l'écriture du regretté Pierre Bottero est sublime. C'est ici un roman graphique qu'il nous propose, les images illustrant parfaitement le texte. On comprend très vite que Léna ne se bat pas seulement contre des monstres venus d'un autre monde mais contre quelque chose de plus fort et de plus terrible. La décision finale de la petite fille donne toute son ampleur à l'histoire.
