J'aurais préféré écrire une citation, mais je me retrouverai avec tout le livre à écrire...
Chaque mot, chaque phrase, chaque pargraphe, chaque chapitre est écrit tellement magnifiquement qu'à la fin, on ne se rend pas compte que l'on est arrivé au bout.
Quand
Pierre Bottero fait allusion au père de Léna (ou Eejil), on croirait qu'il parle de lui. Penché sur l'écran de son ordinateur et pianotant sur le clavier.
J'adore aussi la petite comptine de Léna:
Un, deux, trois,
Trois à trois,
Toi et moi.
Un, deux, trois,
Toi et moi,
Ca fait deux,
Qui est trois?
C'est toi !
Aussi, on comprend qu'il adorait Ellana car à la page 79, on voit le SPRITE assit sur une étagère. Et si on regarde bien l'étagère, au deuxième niveau (en partant du haut), on remarque qu'il y a les trois livres de la trilogie d'Ellana.
Les dessins sont magnifique, comme les textes (mais ça, je l'ai déjà dit).
C'est vraiment dommage que
Pierre Bottero soit mort (d'un stupide accident de moto), il nous ferait encore réver avec ses romans.
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