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Citations sur Les mondes d'Ewilan, tome 3 : Les tentacules du mal (90)

Si tu veux absolument te battre, commence par te battre contre toi-même. Précepte haïnouk.
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Voler. Au-delà des flammes et des frontières.
Libre.

Chant du Dragon
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Salim jeta un coup d'œil à Ewilan qui approuva d'un léger signe de tête. Il poursuivit :
- Nous en sommes réduits à réciter, dans les cavernes désertes de nos cœurs dévastés, des odes qui pourtant les feraient vibrer si elles prenaient le temps de les écouter. Nous nous jetons à leurs pieds, elles nous tournent le dos. Nous brûlons d'une flamme haute et pure, elles ne s'y réchauffent pas. Les hommes sont des poètes méprisés ! J'ai bien dit les hommes, pas les gros poulpes avec une... Non, Bjorn, je ne parlais pas pour toi ! Arrête !
Le chevalier avait saisi Salim et faisait mine de l'étrangler.
- Espèce de roquet insolent, gronda-t-il, tu outrepasses les limites de ma bienveillance.
- Non, Bjorn, tu te méprends. C'est charmant, un poulpe... Aïe !
La première, Ewilan éclata de rire, bientôt suivie d'Ellana et de l'ensemble des Alaviriens. Un rire purificateur qui balaya comme par magie angoisses et tristesse.
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Lorsqu'ils s'éveillèrent, ils avaient suffisamment récupéré pour envisager sans désespérer la longue marche qui les attendait. Edwin les surprit en les entraînant droit vers le sud.
- Je croyais Valingaï à l'est, marmonna maître Duom.
- C'est le cas, lui répondit Bjorn.
- Pourquoi, alors, Edwin nous fait-il effectuer ce détour ?
- Aucune idée. Allez lui demander des explications. Il n'a pas fermé l'œil depuis trente heures, il sera sans doute prêt à vous les fournir avec le sourire...
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- J'ai besoin de toi. Gwendalavir a besoin de toi.
- J'ai donné vingt ans de ma vie à Gwendalavir. Sans marchander, sans rien attendre en retour. J'ai oublié de construire ma propre vie pour me consacrer à des occupations que je jugeais plus nobles, plus importantes, persuadé que le fils du Seigneur de la Citadelle devait agir ainsi. Je ne prétends pas m'être trompé, je ne regrette aucun de mes choix, mais aujourd'hui je change de route.
- Justement ! s'emporta Sil' Afian. Pourquoi aujourd'hui ?
- Parce que j'ai vu des êtres proches mourir [...] Parce que j'en ai vu d'autres passer à côté de réalités essentielles... Parce que j'ai pris conscience que, prince ou mendiant, on n'a qu'une vie et qu'il est capital d'en faire quelque chose de bien... Parce que je passe, moi aussi, à côté de réalités essentielles... Parce que j'ai envie de penser à moi et à ceux que j'aime. De manière exclusive
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Celui qui s'affirme indispensable est un prétentieux, celui qui croît l'être un imbécile.
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Nager. Dans les océans, les rêves et les étoiles.
Libre.

Chant de la Dame
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- Les femmes haïnouks sont la vraie richesse de notre peuple, expliqua Oyoel à Edwin et Ellana. Ellana approuva d'un hochement de tête.
- De ton peuple uniquement ?
- Non, tu as raison, se reprit Oyoel. Les femmes sont la vraie richesse des hommes, mais trop souvent ceux-ci l'ignorent. Nous, les Haïnouks, le savons. C'est pour cette raison que nous sommes libres et heureux.
La marchombre contempla le navire, les enfants qui s'amusaient sur le pont, les hommes et les femmes qui œuvraient ensemble autour d'eux. Rires et chants s'entremêlaient, se joignaient au bruit du vent dans les cordages pour former une musique magique. Une musique de vie.
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Edwin et Ellana ouvrirent les doigts. Deux flèches parfaitement ajustées fusèrent.
Elles se fichèrent avec un bruit mat dans le corps du coureur, à la hauteur de son cœur, mais, étrangement, le flot de sang qui accompagne la mort ne jaillit pas.
Ce fut bien pire.
Le poitrail de l'animal se fendit sur toute sa longueur. Une multitude grouillante d'insectes en jaillit. De monstrueuses blattes longues de trente centimètres, à la carapace d'un noir brillant, aux antennes frémissantes et aux mandibules acérées.
- Des grouillards ! s'exclama Artis Valpierre.
Le cri écœuré d'Ewilan fut repris par Salim et maître Duom lorsque les blattes géantes tournèrent leurs têtes hideuses dans leur direction. Il y eut une seconde de flottement puis les grouillards, dans un ensemble parfait, se précipitèrent sur eux à une vitesse hallucinante.
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L'amour nous offre l'éternité.
Au-delà de la mort.
Au-delà des apparences.
Unis.
A jamais.
(p.412)
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