AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de michemuche


Voila mon second voyage avec la littérature russe, mon compagnon de route est Mikhaïl Boulgakov.
"Le petit père des peuples" alias Staline gouverne d'une poigne de fer sur l'union soviétique, quand on est écrivain à cette époque il vaut mieux surveiller son langage et ces écrits. Boulgakov le sait il fera même partie de ces écrivains censurés. Voila pour la petite histoire.
" le maître et Marguerite" est un roman qui résume assez bien la folie des années trente; un savoureux mélange d'allégories à la façon de Murakami avec la folie douce de Brautigan.
Tout commence dans un parc de Moscou, Mikhaïl Berlioz est rédacteur en chef d'une revue littéraire et Ivan Ponyriev est poète.
Le premier demande au second de revoir son travail; le thème: l'existence
réelle ou imaginaire de Jésus Christ. Un troisième personnage prend part à la conversation, un certain Woland.
Il va résulter de cette rencontre un immense capharnaüm dans Moscou.
Des billets de 10 roubles vont tomber du ciel, des évènements étranges au n°302 rue Sadovaïa appartement 50. J'allais oublier un certain Ponce Pilate.
Enfin je vous invite grand au bal que donne Satan avec la belle Marguerite comme maitresse de maison.
Ce billet peut vous paraitre confus, ce sont peut-être les effets secondaires de la lecture.
Si jamais vous rencontrez un gros chat tenant un verre de Cognac passez votre chemin car Woland et ses suppôts ne sont pas loin.
Commenter  J’apprécie          1158



Ont apprécié cette critique (103)voir plus




{* *}