Voici un recueil résolument SF, mis à part ce concept d'homme illustré qui encadre le tout, un assortiment qui me laisse un peu perplexe. Avec plusieurs des
nouvelles,
R. Bradbury nous fait une étude étendue de la philosophie, sociologie et psychologie du voyage dans l'espace. C'est donc très souvent axé sur les sentiments humains. le contenu m'a aussi souvent paru moralisateur. Ce n'est pas un reproche, mais après les 5 premières
nouvelles, la tendance m'a semblée très marquée. Puis cela s'est un peu estompé avec des histoires d'un tout autre genre apparaissant ça et là, notamment quelques-unes rempli d'humour satirique. Elles sont très fantaisistes par moments ces histoires, parfois au dépend de toute crédibilité. J'ai admiré surtout l'imagination et l'humanité de l'auteur dans cet ouvrage.
Celles qui m'ont particulièrement charmé (sans ordre particulier) : ''La ville'', ''L'heure H'', ''Automates Société anonyme'', ''Kaléidoscope'', ''La bétonneuse'' et ''La brousse''.
Saurez-vous deviner ma préférée avec l'indice masqué ci-dessous ?
Tic-tic-tic-tic-tic-tic-tic-tic-tic-tic...
Liste des
nouvelles :
''
L'homme illustré''
''La brousse''
''Kaléidoscope''
''Comme on se retrouve''
''La grand route''
''L'homme''
''La pluie''
''L'homme de l'espace''
''La dernière nuit du monde''
''Les bannis''
''Ni un soir ni un matin''
''Le renard et la forêt''
''Le visiteur''
''La bétonneuse''
''Automates Société anonyme''
''La ville''
''L'heure H''
''La fusée''
''Épilogue''
Commenter  J’apprécie         180