Je découvre
Alina Bronsky avec «
Le dernier amour de Baba Dounia ». Une quatrième de couverture qui donne envie, et qui finalement ne rend pas hommage à l'ouvrage.
Dans un décor peu commun (la campagne trente ans après une catastrophe nucléaire), nous rencontrons des personnages attachants, simples, dont le principal, Baba Dounia, va nous faire partager son quotidien. Ces anti-héros, dont la moyenne d'âge doit tourner autour des 80 ans, forment une petite (toute petite) communauté qui va se révéler sous un jour nouveau suite à l'arrivée de deux résidents particuliers.
Très bien écrit, plein d'humour, une histoire très bien menée, captivante, avec des notes de suspense, des réflexions pertinentes sur des sujets actuels…
Ce court roman est une pépite, qu'il faut absolument découvrir !
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