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Critique de poka8
Le château des poisons est un roman sans prétention, à l'écriture fluide et agréable.
L'intrigue s'appuie sur des figures un peu clichés qui ne dérangerons pas les esprits rêveurs. Johan de Montperril y joue le rôle du brave costaud solitaire habitué à escorter des âmes peureuses sur des routes malfamées pour gagner son pain. Dans la mission qui lui a été confiée par l'Église, il accompagnera Dorius, un moine borné, porteur de reliques et Ivana, l'étrange troubadour et femme fatale...
Oui l'ambiance repose sur un Moyen-Age quelque peu fantasmé, c'est justement ce qui fait sa force : Brussolo produit dans l'obscurité, une toile transparente, au moyen de projection dissimulées, incertaines et surnaturelles.
Un polar médiéval fantasmagorique donc, où le personnage principal, Johan de Montperril se révèle d'une droiture presque épique et dont la naïveté en fait un être attachant et pas si crédule, dans une courte aventure où tous croit dur comme fer que le diable tire les ficelles de l'intrigue...
L'intrigue s'appuie sur des figures un peu clichés qui ne dérangerons pas les esprits rêveurs. Johan de Montperril y joue le rôle du brave costaud solitaire habitué à escorter des âmes peureuses sur des routes malfamées pour gagner son pain. Dans la mission qui lui a été confiée par l'Église, il accompagnera Dorius, un moine borné, porteur de reliques et Ivana, l'étrange troubadour et femme fatale...
Oui l'ambiance repose sur un Moyen-Age quelque peu fantasmé, c'est justement ce qui fait sa force : Brussolo produit dans l'obscurité, une toile transparente, au moyen de projection dissimulées, incertaines et surnaturelles.
Un polar médiéval fantasmagorique donc, où le personnage principal, Johan de Montperril se révèle d'une droiture presque épique et dont la naïveté en fait un être attachant et pas si crédule, dans une courte aventure où tous croit dur comme fer que le diable tire les ficelles de l'intrigue...
