Si on lit un
Brussolo une première fois on peut être séduit (e) par l'inventivité de l'auteur mais au bout de plusieurs volumes (j'en ai lu 28 en tout) on commence à voir les obsessions: par exemple ici les corps qui explosent , la contamination , le traitement pire que le mal , le savant fou . Et aussi l'uniformité du ton (toujours glauque) , de la construction (aggravation permanente ) ,jusqu'au nom des personnages (Pauvre David) Celui-là n'échappe pas à la règle.
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