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sur 142 notes
Diane de Verneuil, jeune parisienne trentenaire, directrice d'une banque d'affaires qu'elle dirige sans états d'âme, doit se rendre à Marrakech, au décès de sa grand-mère dont elle a hérité de la Villa Taylor. Un lieu qui a connu un destin historique avec les séjours de Winston Churchill et le président Roosevelt dans les années de guerre. D'abord réticente à accepter la Villa qu'elle avait désertée quand elle avait quinze ans, suite à la disparition de sa mère, la jeune femme s'intéresse à l'histoire de la Villa, étroitement liée à sa vie, et se lance dans sa propre histoire pour comprendre la disparition de sa mère.

Sur le papier, ce roman avait tout pour me plaire, un roman historique, une quête intérieure et un cadre, Marrakech, qui permettait d'en découvrir un peu plus sur cette ville marocaine.
Malheureusement tous les poncifs et les clichés vont s'accumuler pour devenir une bluette qui ne dit pas son nom : la pauvre petite héritière riche qui, ne pouvant se rendre par avion régulier, loue un jet privé; à son installation, la découverte d'une cassette de bijoux et le notaire ”sort une liste manuscrite et entame une assomante litanie. Rivière de diamants van Cleef, broche Chopard, montre Cartier...boucles d'oreilles Chaumet...Je n'écoute plus l'énumération fastidieuse du notaire”. le notaire, parlons-en, une quarantaine d'années, le beau gosse dans toute sa splendeur, mais ténébreux et malheureux, cachant lui-même ses blessures et se refusant à plusieurs reprises à la jeune femme. Lors d'une incursion dans un petit village marocain, la nuit tombant, la belle héritière suggère de louer un hélicoptère pour rentrer à Marrakech. Tous ces événements se déroulant sous l'oeil d'Halima, la femme de confiance de la grand-mère, qui gagne chichement sa vie.
Bref tout du même acabit, entrecoupé de descriptions redontantes du jardin et de ses parfums envoutants, ambiance orientale oblige....Seule, la partie historique decrivant le séjour de Churchill sort du lot.
Plus qu'une déception, c'est une vraie erreur de casting pour ce roman qui n'est qu'une romance insignifiante et sans intérêt.
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Taylor
Ce livre, qui se clos sur un alexandrin (« la vie doit se draper dans l'étoffe des rêves») est une fable, voire un mythe d'où sa force et ses stéréotypes. Tout imprégné de légendes gréco-latines, il dit le rêve d'une multi-culturalité qui n'est pas celle des politiques ou des journalistes, mais la multi-culturalité de l'amour sans frontières.
C'est un roman charnel, sensuel et pourtant éthéré, un vrai roman, qui se lit comme un polar, et porte sur le retour vers un passé qu'il faut déchiffrer, ce passé colonial de la Villa Taylor, élégant, superficiel et…parfumé - du moins le croit-on jusqu'au deux tiers du livre, égarés qu'on est par les faux-semblants d'un raffinement de classe : un repas mauve pour l'assortir à des fleurs, une salle de bain en porphyre, un jardin enchanté, une bouteille de champagne que l'on verse dans la Neva.
Puis se révèlent les lignes de force, sous la frivolité heureuse apparaissent la cruauté, la violence envers les plus faibles et un courant irrésistible, celui de l'amour, de l'acceptation totale de l'autre, qui n'a que faire des barrières sociales et religieuses.
Un beau roman plein de charme, dont le personnage principal reste cette villa Taylor épuisée et superbe, qui ressemble à tous les paradis perdus et chargés de mystères de nos enfances : « On dit que les murs se souviennent et que, de temps à autre, ils laissent échapper des sons, des images, des parfums du passé ». J'ai aimé plus que tout cette quête d'un monde qui n'existe plus, ces grandes bourgeoises naufragées par la vieillesse, cette villa bientôt en ruine, maintenue tant bien que mal par un personnel hors d'âge, le Marrakech ancien, celui de l'aquarelle de Churchill, enlaidi par l'afflux des touristes, ces cimetières, même, ou les noms s'effacent…
« La terre, la vraie, c'est celle des souvenirs ».
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D'habitude, les ouvrages (les romans, tout particulièrement écrits à deux -mis à part les couples bien soudés- sont rares et ne sont pas réussis, chaque intervenant pouvant avoir des frémissements différents face aux situations décrites. Il faut donc croire que nos deux auteurs sont sur la même «longueur d'onde». L'histoire, au départ, est assez simple. Mais, elle se complique par la suite.

Au départ, il y a Diane de Verneuil, une belle «golden girl», encore jeune, «executive woman» , directrice (à succès) d'une banque parisienne. Une vie de «jet-setteuse» parisienne menée tambour battant et brûlée (selon son rythme et ses désirs) par les deux bouts. A cause d'une enfance pleine de zones d'ombre ? Elle a grandi à Marrakech dans une grande villa devenue célèbre car fréquentée par de grands noms européens de la politique, de la culture et des arts de l'époque (coloniale) : Winston Churchill, F. Roosevelt, Y. Saint Laurent, C. Chaplin, Forbes... et bien d'autres encore.

Orpheline de père et de mère, elle vit avec sa grand-mère maternelle et de serviteurs (indigènes, bien sûr), tous bien silencieux sur le passé d'une résidence qui a l'air chargé de bien des drames. Car la mère a, un jour, mystérieusement disparu.. .laissant une résidence fastueuse péricliter dans la tristesse généralisée.

C'est, donc, à la mort de la grand-mère, toute une quête assez laborieuse pour retrouver la mère «effacée» des mémoires. Grâce à une jeune et beau notaire, lui-même ayant une vie chargée de mystères, elle remontera le temps et, allant de surprise en surprise, elle se réconciliera avec un passé qu'elle pensait douteux... et elle retrouvera ses origines (d'Européenne française, elle découvrira que son vrai père est un Marocain musulman, ancien serviteur, devenu l'amant de la maman) comme d'ailleurs Selim, le notaire qui dit avoir découvert, lui, le Marocain, fils de musulman, que sa mère était de confession juive) Sa vie connaîtra alors un autre cheminement, plus apaisé... Sa banque aussi ! Quant à la villa Taylor, elle ne sera pas vendue aux rapaces de l'immobilier.
Avis : Un roman d'amour parcouru de perturbations et d'interrogations ; l'héroïne, comme son amoureux, étant à la recherche de sa mère et de ses origines. Mais, aussi, un livre d'amour pour... le Maroc (à travers Marrakech)... un pays présenté calme, accueillant, tolérant, ouvert sur les cultures et les religions du monde, dynamique économiquement. Quoi de mieux comme outil promotionnel ? A l'opposé d'«Alger sans Mozart»
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Amateurs de Point de vue Images du Monde ou de Gala, ce livre est fait pour vous.Roman à l'eau de rose sur l'aristocratie coloniale de Marrakech.Tout ce beau monde évolue en vase clos, se rencontre dans la fameuse villa Taylor, rencontre les hauts personnages de l'époque. Je n'ai pas du tout apprécié ce roman artificiel. le style est franchement mauvais sauf, peut-être, pour décrire les odeurs du jardin. Une chose est sûre : ce n'est pas de la littérature et je ne suis pas allé jusqu'au bout de ce livre insignifiant.
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Très beau roman, assez classique mais vraiment bien écrit, prenant et divertissant. Les personnages sont très vite attachants, y compris le personnage principal et atypique, à savoir la villa Taylor à Marrakech.
Une jeune femme, carriériste dans le domaine de la finance, hérite de la villa de son enfance à Marrakech à la mort de sa grand-mère. Ce sera pour elle l'occasion de revenir sur les traces de son enfance, de la petite fille qu'elle était, partant aussi à la recherche de la femme qu'elle veut devenir.
Après avoir voulu vendre la maison pour tourner la page, elle se laisse envoûter par la maison qui lui révèle peu à peu, par bribes, des éléments qui vont lui permettre de mieux connaître ses origines et en particulier la vie de sa mère qui l'a abandonnée pour vivre une passion amoureuse et dont personne n'a voulu ensuite lui parler. le contraste entre la jeune femme d'affaire, froide et efficace, qui paraît insensible et celle qui se révèle peu à peu est saisissant. D'un côté le monde occidental, individualiste et mené par l'attrait du profit financier dont les auteurs dénonce certains travers, de l'autre le Maroc et son humanité. Ce roman nous emmène littéralement au Maroc ; on a vraiment l'impression de connaître la Villa et son jardin, de ressentir la chaleur du Maroc et de ses habitants… C'est donc un moment de lecture très agréable : évasion et émotions garanties !

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J'ai beaucoup aimé ce roman, qui prend en fait la forme d'une enquête d'une jeune femme, Diane, pour connaître sa mère, qui l'a abandonnée lorsqu'elle était petite fille.

La mort de sa grand-mère qui a toujours tu l'origine de cette disparition et qui n'a jamais voulu livrer un quelconque détail sur cette mère que Diane rêvait tant de connaître, est l'occasion de déterrer les souvenirs et recoller les morceaux du passé.

Il s'agit aussi de l'histoire d'une jeune femme qui peu à peu remplace l'action dans sa vie par la contemplation. J'ai regretté parfois quelques traits du personnages qui me semblaient caricaturaux : le portrait de la femme qui a sacrifié émotions et vie personnelle pour devenir un requin de la finance, qui s'est construite sur une fêlure (l'absence de sa mère) n'est pas toujours pleinement crédible.

Mais la grande sensibilité de ce roman, l'écriture poétique et très accessible des auteurs qui rendent hommage à la beauté sauvage et chaude de Marrakech a fini de me convaincre qu'il s'agissait d'une lecture à recommander pour ce mois de février!

Je remercie les éditions Anne Carrière
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Diane a 35 ans et apprend le décès de Moune, sa grand-mère qui vit au Maroc dans ce qui fut la  Villa Taylor. Elle va devoir régler la succession, prendre les bonnes décisions sur le devenir de la  villa, demeure flamboyante qui accueillit Churchill et Roosevelt mais qui vit aussi la petite Diane grandir sans sa mère. Renouer avec le passé et tâcher de découvrir où est sa mère et pourquoi elle avait abandonnée son enfant : deux autres missions pour Diane.

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J'ai vu les arbres du jardin. J'ai humé le parfum des fleurs. J'ai senti l'odeur de la pluie qui tombe sur la terre sèche. Ressentir cette sensualité des corps qui s'attirent, se cherchent. L'attraction. La répulsion. La pudeur de ceux qui sont blessés ; leur droiture aussi. Les traces du temps qui passe sur les murs, sur les corps, dans les esprits. Mes larmes à l'arrivée d'Aziza dans le cimetière. 
Voilà ce qui constitue cette histoire que j'ai lue en deux jours. J'en ai bu tous les mots. Impossible de me défaire des personnages mais surtout de leurs quêtes ; chacun au fond de lui cherche, attend et espère.

Un gros coup de coeur pour ce roman.
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insipide
"Son regard erre sur les lourdes tentures chamarrées" "la nuit brûlante saturée de parfums attise les sens"... phrases relevées au hasard dans le livre que j'aurais pu recopier presque intégralement pour dénoncer la surabondance des adjectifs employés jusqu'à l'écoeurement, l'usage excessif de phrases dignes d'une bonne rédaction de sixième, sans compter l'énumération des noms inconnus de fleurs piochés, sans doute, dans une petite flore "les fleurs du Maroc"... Et aucune intrigue, tout est prévisible et attendu. Messieurs les Docteurs Canesi et Rahmani, j'avoue n'avoir lu de vous que ce roman mais je vous imagine plus performants dans l'écriture d'ordonnances que dans la littérature !
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J'ai commencé ce roman dans une sorte de flou qui s'est dès le début éclairci tellement j'ai accroché au style d'écriture de ce duo d'auteurs que je ne connaissais pas. J'ai été touchée et étonnée de lire deux hommes racontant le point de vue d'une femme avec autant de justesse, mêlant la douceur et la force du personnage. Je sais qu'après Villa Taylor, je prendrai un réel plaisir à découvrir un autre roman de ces auteurs, en espérant qu'ils réussissent à me faire autant voyager qu'avec celui-ci. D'autant que les multiples références littéraires ou autres, comme celles sur les mythes antiques ou sur des contes, m'a particulièrement plu et m'a aidé à encore plus m'adapter au sein de ce roman.

Diane avait renié son héritage marocain depuis quinze ans en quittant Marrakech pour la France. Depuis, elle s'est forgée un caractère et une carapace en fer forgé afin d'atteindre les plus hauts échelons de son secteur d'activité. Dans la trentaine, là voilà alors dirigeante d'une banque d'affaires parisienne. Seulement, sa vie intime n'est pas aussi florissante. Depuis quelques temps dans une relation qui ne semble pas l'épanouir, elle s'est au fil du temps refermer sur elle-même pour ne plus jamais être abandonnée. Mais lors de la mort de sa grand-mère, Diane se voit obligée de fouler à nouveau sa terre natale, Marrakech. Elle apprend être l'héritière directe de tout ce que possédait sa grand-mère, dont notamment la Villa Taylor dans laquelle Diane a également vécu lors de son adolescence. Les souvenirs refluent un à un dans sa mémoire et voit dans la mort de Moune l'occasion de découvrir la vérité sur sa propre mère. Celle qui l'a abandonné à la naissance, celle dont elle n'a jamais entendu parler telle un fantôme qui hante la Villa Taylor. Diane va devoir prendre ses distances avec Paris pour pouvoir enfin déceler la vérité qui ne va pas être simple à découvrir. Entre le jardinier maintenant aveugle et la gouvernante Halima qui vivaient auprès de Moune depuis des décennies, personne ne souhaite rendre plus limpide les investigations de Diane. Elle va devoir alors s'y engager pleinement, sans peur de s'écorcher sur le chemin, car tous les secrets et toutes les vérités ne sont pas forcément bonnes à entendre. Mais il faut dire que Diane a les épaules pour ce genre de défis. Forte, intransigeante, elle sait se faire entendre et reste prête à tout pour découvrir la vérité. Malgré tout, même avec la meilleure des armures, on peut facilement se blesser. Et la jeune femme va parfois croire qu'elle est arrivée au bout de sa résignation et de sa force mentale. Mais heureusement, il y aura toujours quelqu'un ou quelque chose qui va l'aider à se relever. On s'attache facilement à cette jeune femme qui semble réussir facilement à se réintégrer dans cette vie qu'elle a quitté. le mélange entre la culture occidentale et orientale est très intéressante et laisse place à une sorte d'harmonie, bien loin de l'image de conflits perpétuels entre les deux que l'on voit et ressent dans le climat actuel.

À côté de Diane, il y a bien évidemment la Villa Taylor qui regorge d'un patrimoine et d'une mémoire inaltérables. Cette maison possède une véritable histoire, ayant recueilli entre ses murs des personnalités tels que Churchill et Roosevelt. Les auteurs s'emploient à raconter leurs visites dans cette demeure ce qui au départ m'a beaucoup intéressé. Mais il est vrai que lorsque j'étais entièrement ancrée dans les recherches de Diane au travers de Marrakech, je n'ai pas forcément apprécié cette sorte de coupure du récit pour narrer une nouvelle fois un autre épisode sur la Villa Taylor. Parce que oui, je baignais complètement dans cette atmosphère chaude et mystérieuse, où les effluves de menthe volent à chaque recoin. Je me suis profondément attachée à cette femme pour son caractère et parce ce qu'elle est obligée de vivre, d'endurer, pour tenter de connaître davantage celle qui lui a donné la vie. L'aide de Salim va alors être précieuse. Cet homme généreux mais aussi distant va se montrer très important pour la collecte de nouveaux indices. Il va peu à peu prendre une place toute particulière dans la vie de Diane, jusqu'à ce que le lecteur s'interroge réellement sur les choix de Diane à son encontre. Cette dernière devra tout au long du récit faire face à des sacrifices, face à la peur qui parfois la submerge, à la perte d'équilibre de son quotidien pour enfin déterrer les secrets du passé. Diane sait qu'ils vont à jamais bouleverser sa vie, mais elle n'attend que ça, elle qui a toujours manqué d'une mère, elle qui a toujours eu peur de l'abandon.
Lien : http://entournantlespages.bl..
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Villa Taylor nous invite à un voyage où tous nos sens seront en éveil !

Poétique, ce roman nous plonge au coeur de Marrakech : sa beauté, sa chaleur, ses jardins, ses parfums ou encore ses couleurs.
Diane, une "executive woman", exerçant dans le milieu intraitable de la finance à Paris, se rend à Marrakech suite au décès de sa grand-mère. En arrivant dans la Villa Taylor, sublime demeure de son enfance, les souvenirs affluent et plus que jamais le mystère entourant la disparition de sa mère, alors qu'elle n'était qu'un bébé, l'intrigue.
Aucune information, aucun détail, aucun mot n'a jamais été prononcé à propos de sa mère : est-elle décédée ? L'a-t-elle abandonnée ? Pourquoi ? Où est-elle ?
Sa grand-mère ne pouvant plus lui apporter ces réponses, c'est Villa Taylor et ses habitants qui vont petit à petit lui permettre de remonter à ses origines et combler ce vide qu'elle ressent depuis sa plus tendre enfance : Hassan, le jardinier passionné et aveugle, Halima la gouvernante dévouée ou encore Agathe, l'amie de Moune (sa grand-mère) qui n'a plus toute sa tête.

Villa Taylor est une véritable initiation à renouer avec ses sens : l'odorat, le toucher, la vue, le gout ou encore l'ouïe sont le cœur de ce roman.
Au fil des pages, on prend plaisir à suivre Diane dans sa quête de vérité sur son passé et l'on se métamorphose à ses côtés au grès des révélations.

Amour, passion, secret de famille, tendresse, jardin, Marrakech sont autant de thèmes abordés dans ce roman.

Seul regret, ces caricatures qui ternissent parfois ce voyage initiatique (l'Europe raciste qui ne veut pas des musulmans alors que les musulmans, eux, sont tolérants / Diane "executive woman" qui travaille dans la finance sans cœur, sans sentiment...).

Une invitation à un voyage sensoriel que je ne pourrais que vous inciter à entreprendre...
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