J'ai envie de caresser tes lèvres aussi douces que du velours, par des petites touches et glisser ma langue lentement dans ta bouche sans l'envahir....
Je veux attraper ton visage pour l'embrasser puis laisser courir mes doigts le long de tes bras jusqu'à serrer tes mains lisses et parfaites... j'aime ton corps jeune et musclé et j'ai envie de le traverser et atteindre son sommet, sans cesser de t'embrasser, j'ai envie de te déshabiller et voir ton sourir transfiguré par la passion et l'énergie érotique débordante que la vie t'a donnée... j'ai envie qu'on échange de longs et profonds baisers. Voyant ton sexe se tendre, j'approche ma main pour le caresser... j'ai envie de couvrir ton torse de baisers et sentir ta respiration s'accélèrait à mesure que ma langue se familiarise avec ta peau.. de ton coeur j'ai envie de descendre jusqu'àton nombril et puis encore plus bas... j'ai envie de le prendre entre mes lèvres et le lécher, le sucer jusqu'à sentir ton sang embraser ta chair... j'ai envie de voir dans tes yeux l'excitation et la stupeur, de sentir ton basse cambré vers moi, mes lèvres remontent jusqu'à ta bouche en prenant délicatement ta main et la poser sur mon sein... j'ai envie de sentir tes lèvres s'approchait de mon téton pour le sucer et le mordre, ma main posée sur ta nuque, je te laisse m'offrir cette bouffée de plaisir....
On ne doit compter que sur soi même, en mer comme dans la vie. Et c'est une leçon que je n ai jamais oubliée.
Les gens heureux, paraît-il, voient tout plus beau, parce que le regard qu'il portent sur le monde reflète les couleurs de leur âme.
Attendre, ce n'est pas perdre son temps: c'est avoir une occasion précieuse de se préparer à ce que l'avenir nous réserve.
Nous restons allongés là, agrippés l'un à l'autre. Nous ne sommes plus deux. Telle une boule d'énergie vibrante, nos corps et nos âmes sont désormais soudés, et se mélangent à tout ce qui nous entoure. Nos deux cœurs battent à l'unisson avec le coeur de la terre.
À travers tes yeux,j'ai malgré tout réussi à voir au-delà de mes limites.
Désormais, je n'existe qu'à travers l'union de nos souffles, de notre sève, de nos sens et de nos pensées.
Nous sommes deux naufragés échoués sur la même rive, deux survivants qui se tendent la main.
Tous ces amants, toutes ces aventures n'ont servi à rien, à part m'apprendre à simuler.
À en croire la grande théorie de Gaia, nous avons toutes besoin d’être consolées chaque fois qu’on voit une fille plus mignonne que nous.