Le Cœur en braille

Victor est au collège et il mène sa vie à fond comme pour sa passion du rock. Il va faire connaissance de la douce Marie-José qui est plutôt assez rangé, bonne élève et surtout violoncelliste de talent. Bref, ce sont deux adolescents que tout oppposent mais les contraires s'attirent !

Il va en effet se créer une amitié très forte. Il s'agira surtout pour lui de l'aider à cacher son terrible secret qui va avoir des conséquences sur sa vie future. Cela fonctionne plutôt bien dans l'ensemble même si certains passages peuvent apparaître comme un peu gentillet et déjà vu.

Les auteurs apportent tout de même beaucoup de subtilité pour donner une véritable consistance à leurs deux personnages principaux dont l'alchimie fait merveille. Dans les rôles secondaires, celui du surveillant général également coureur cycliste ainsi que le père de notre héros se défendent plutôt bien.

J'ai beaucoup aimé la couverture, je ne le cache pas. Par ailleurs, le graphisme est très avenant avec de belles couleurs chatoyantes qui rendent la lecture assez agréable. J'ai lu quelque chose de simple, une sorte de leçon des gens et des choses. Une lecture qui fait du bien avec une belle leçon d'optimisme. On en a parfois besoin.

Charmante BD toute jolie, toute douce, aux dessins qui m'ont beaucoup plu.
Collège classe de 4e. Victor, un peu dépassé par tout, et surtout par ce qu'il dit à tort et à travers. Nouvelle rentrée, le voilà installé à côté de Marie. L'intello de la classe, violoncelliste virtuose. Jolie demoiselle en plus....
On devine ce qu'il va se passer entre les deux. Un peu moins le secret de la jeune fille. Pourtant le titre donnait un indice gros comme ça !
Comme PetiteBichette j'ai tiqué sur une incohérence au milieu de la BD, incohérence qui est fondamentale (sinon plus d'histoire). Mais bon j'accepte de passer l'éponge dessus, les dessins sont mignons, Victor et Marie sont mignons dans leur début amoureux, vous avez compris j'ai trouvé la BD toute mignonne.....

Touchée, coulée, mon coeur en braille..

Avec un graphisme sublime, une colorisation élégante et sobre, des personnages terriblement attachants et un thème fort, cette bd est un grand format à tous niveaux. Ce récit redessine avec humour et sensibilité le contour du handicap, celui qui empêche de vivre ses passions et de se sentir libre sans préjugés. Victor est mauvais élève et ne croit plus en lui. le regard des autres lui font sentir qu'il n'est pas à la hauteur. Seule Marie-José qui cache un lourd handicap saura voir dans son coeur. Lui, son extrême opposé, cheminera à ses côtés pour l'aider à réaliser ses rêves de musicienne malgré les entraves.

Bien que fantaisiste, « le coeur en braille » est une magnifique histoire de complicité et d'entraide qui m'a emporté avec sa douce mélodie du bonheur malgré tout.

Voici un petit bijou qui a conquis le Prix Babelio en bd et qui est en finale pour le Prix des Dévoreurs de Livres catégorie 3ème. On y croit !!
"Le coeur en braille" est une bande dessinée géniale !
J'ai beaucoup apprecié la sensibilité des dessins qui sont bien définis et colorés.
Je ne m'attendais pas à aussi peu de contenu entre certains moments de suspense (seulement un peu, hein 😅) l'histoire va trop vite. On n'a pas le temps de tout assimiler que c'est bon, ils sont passés à autre chose !
En gros j'ai beaucoup aimé cette bd mais il aurait fallu nous tenir en haleine plus longtemps.
À lire juste pour le plaisir des yeux (blague pourrie, je sais) 😇.

Je crois bien avoir le coeur en pierre car cette histoire ne m'a pas émue plus que ça. J'ai trouvé l'album très beau, des dessins bien vivants et actuels, des couleurs vives et chaudes en même temps avec un côté « chevelure ébouriffée » qui me plaît à coup sûr, mais… je ne suis probablement pas le public cible.
L'histoire d'amour entre les deux principaux protagonistes est intéressante. Un jeune élève, Victor, peu concentré à ses études et qui préfère son band de musique et la mécanique se lie d'amitié avec Marie-Josée, une génie à l'école et jolie fille à ses yeux. Au contact de Marie-Josée, Victor apprend à se connaître, développe son plein potentiel et trouve une voie qui l'intéresse : protéger la reine.

Il y a de belles références avec les échecs; l'amitié avec le copain Haïçam arrive à lever le niveau mais plusieurs incongruités m'ont agacé. le traitement manga avec les grosses lettres pour les onomatopées ne me semblait pas toujours nécessaire et rendait le dessin plus agressif.
Alors, comme le dit si bien Victor, « pour qu'une chose soit intéressante il suffit de la regarder longtemps » je devrai probablement revoir cette bande dessinée car je vois bien qu'elle a une appréciation beaucoup plus élevée par les amateurs et que je dois être passée à coté d'un chef-d'oeuvre sans le voir.

Une jolie histoire pleine de bons sentiments et de doux moments.
C'est très joli, ça donne le sourire et on passe un très très bon moment en le lisant.
C'est une BD qu'on a envie de prêter, d'offrir et de faire découvrir.
Le dessin est très bien fait et la couverture est une petite merveille.
Une BD si douce et belle qu'on ferme volontiers les yeux sur l'aspect un peu abracadabrantesque de certaines situations.
A lire

Un récit tendre, poétique et débordant d'amour sur la perte progressive de la vue avec un tandem qui s'apprivoise et se complète à merveille. le tout est accompagné d'un superbe coup de crayon qui offre une lecture incroyable douce ! Certes, on n'échappe pas à quelques personnages clichés toutefois, cette lecture vaut le détour. Une bonne adaptation roman/bd.

Victor entre en quatrième et comme chaque année, il n'y va pas avec entrain. Il faut dire que l'école, ce n'est pas vraiment le truc de Victor, c'est comme s'il sautait dans l'inconnu à chaque fois. Comme s'il n'était pas à sa place. Là où il se sent parfaitement bien, c'est avec ses amis dans leur groupe de rock ou avec son père quand il s'agit de parler de la passion automobile qu'ils ont en commun. Avec tout ça, on imagine bien que Victor n'est pas forcément bon élève. Un peu chahuteur, du mal à réviser, c'est ainsi qu'il se retrouve à copier sur sa voisine lors d'un devoir de maths. Mais étonnamment, il semble que Marie-José qui est soit dit en passant la meilleure élève de la classe, l'ait laissé faire. Mais pour quelle raison aurait-elle fait ça ?

C'est une relation attendrissante qui va se nouer entre les deux personnages, chacun apportant ce qu'il manque à l'autre. L'adolescence n'est vraiment pas de tout repos, on a tendance à l'oublier en vieillissant. C'est d'autant plus important de trouver une personne avec qui nous sentons une connexion. Ce sont des relations qui, même quand elles ne durent pas, laissent une trace au fond de nous.

Des illustrations au trait délicat, lumineuses portent un thème difficile, des vécus marquants, pourtant le tout est amené avec douceur et humour. L'amitié est très présente dans cette bande dessinée, l'amour également et surtout la force d'avancer. Tout seul, on va plus vite mais à deux, on va plus loin.

"Le coeur en braille" de Joris Chamblain et Anne-Lise Nalin est une adaptation du roman jeunesse de Pascal Ruter.
L'histoire d'amitié, puis d'amour, de Victor et Marie-José.

Je n'ai pas lu le roman original donc je ne ferai pas de comparaison. J'ai bien aimé ma lecture. L'histoire tient à peu près la route, la solidarité entre les personnages est touchante, l'espièglerie de Victor amusante et les illustrations très plaisantes.
Néanmoins, je trouve qu'il manque quelques passages de liaisons et que l'histoire va un peu trop vite par moments. J'ose même dire qu'il y a quelques aspects que je n'ai pas trouvé très crédibles... Mais, au-delà de ça, c'est une lecture agréable qui a le mérite d'aborder beaucoup de thèmes intéressants.

Une très jolie BD, à laquelle je mets quand même un bémol, parce que l'histoire est assez peu crédible finalement.
Victor est en 4ème, il a la tête pleine de rêves, de rock et de copains. Entre son groupe de musique (qui fait plus de bruit que de musique), son père atypique et son copain joueur d'échecs, il fait comme il peut pour traverser l'adolescence avec toutes les questions qu'il a en tête. Puis il rencontre Marie-José, la tête de classe, joueuse de violoncelle, qui sauve sa scolarité et lui fait découvrir l'amour.

C'est justement les questionnements, les réflexions de Victor, le milieu dans lequel il évolue, qui n'est pas très crédible, et puis le dénouement final. Il y a des BD jeunesse qui peuvent se lire aussi très bien à l'âge adulte. Celle-ci, même si elle est bonne, n'est pas la meilleure dans ce domaine. Elle s'adresse à un public de collège-lycée.
Les dessins ont quelque chose de flou, de doux, de discret, qui m'a beaucoup plu.