La malédiction de Venise

Dès les premières pages de ce roman, l'ambiance est anxiogène et oppressante... c'est quelque chose que l'auteure maîtrise d'ailleurs à la perfection car déjà lors de la lecture de son précédent roman "Le chant de la vengeance", c'est quelque chose qui m'avait marquée, l'ambiance très particulière qui s'en dégageait.

Dans ce roman, nous voyageons à Venise qui nous est plutôt dépeinte comme sinistre, triste, apparaissant sous la brume.

L'histoire se déroule dans un palais, quasiment intégralement à l'intérieur d'ailleurs, puisque les personnages sortent très peu et j'ai parfois ressenti l'impression de lire un huis clos.

J'ai beaucoup aimé le début mais ensuite, j'ai trouvé que les actions étaient assez répétitives et ça m'a même provoqué un peu d'ennui à certains moments...

C'est donc une lecture mitigée pour moi mais n'hésitez pas à vous faire votre propre avis.

𝒫ℴ𝓇𝓉ℯ 𝓉ℴ𝓃 𝓂𝒶𝓈𝓆𝓊ℯ ℯ𝓉 𝒹𝒶𝓃𝓈ℯ 𝒶𝓋ℯ𝒸 𝓂ℴ𝒾 🎭

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𝘈𝘮𝘣𝘪𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘷𝘦́𝘯𝘪𝘵𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘦𝘵 𝘵𝘩𝘳𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘴𝘶𝘳𝘯𝘢𝘵𝘶𝘳𝘦𝘭
Bienvenue à Venise, assied toi dans la gondole et découvre cette ville. Dans une ambiance froide et sombre, j'ai rencontré Elena, jeune infirmière. On ressent directement que ce futur patient sera sa rédemption tant attendue et nécessaire 👩‍⚕️
Cependant, ce patient atypique lui promet une prise en charge récalcitrante et fantomatique

𝘓𝘰𝘷𝘦 𝘴𝘵𝘰𝘳𝘺 𝘰𝘶 𝘵𝘳𝘪𝘢𝘯𝘨𝘭𝘦 ?
En plus de gérer un patient des plus énervants, Elena va devoir gérer le côté débridé de ce dernier ! D'une impression d'un love interest unique, j'ai été un peu septique de ce changement. J'étais déjà septique de la simple relation entre Elena et Samuel. Mais alors là...
Quand je parle de côté débridé, c'est même plus que cela... C'est quelque chose qui m'a dérangé. Je n'ai pas compris le lien entre l'ambiance historique (et techniquement la pudeur) et la pervers.té de Samuel. La pudeur que j'avais tant apprécié dans le chant de la Vengeance a été complément obscurcie par des allusions bien lourdes et peu respectueuses ... 🤬

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𝘗𝘳𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘵 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘳𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯
J'ai pu avoir un peu de compassion pour Elena qui devait gérer les déboires d'un adulte qui joue l'adolescent puéril. Mais cela est assez vite parti contre ses réactions de jeune madame influencable...
L'intrigue surnaturelle est la raison de ma persévérance ! Parce que oui, vous savez, les fantômes dans les livres... J'aime ça ! 👻
Qui se cache derrière cette ombre blanche ?

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Vous comprennent donc bien que ce roman a été pour moi une déception. Et vous savez que je prie pour que vous l'appréciez !
Je vous souhaite donc un bon voyage au grès dès canaux vénitiens !

🔑 [ Livre ; roman ; historique ; Lovestory ; Venise ]
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Venise, 1884.
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Elena Spira, infirmière aux États-Unis dans l'asile de son père, a été envoyée en Italie pour s'occuper de Samuel Farber. Elle quitte son pays afin d'expier ses fautes suite à une erreur qui a menacé de ruiner sa famille.
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Mais le palais qui l'accueille semble regorger de secrets. Cette vieille bâtisse en ruines menace de s'écrouler. Et Elena se sent peu à peu épiée. Lorsque son patient se met à avoir des hallucinations qui le rendent violent, elle sait qu'elle court un grave danger ...
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L'atmosphère qui se dégage de ce roman est sombre, mystérieuse. On imagine aisément les petites ruelles brumeuses et peu éclairées entre les canaux vénitiens, même si l'histoire se déroule principalement dans la demeure des Basilio. J'avoue que pour la grande peureuse que je suis, je n'étais pas des plus sereines au fil de ma lecture. le climat malaisant s'installe progressivement, monte Crescendo jusqu'à la fin du roman. de légers doutes vont s'immiscer dans votre esprit puis la chair de poule vous gagnera.
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Ce roman m'a clairement fait sortir de ma zone de confort. Si je suis une adepte des histoires qui me font voyager dans le temps, qui regorgent de secrets, le côté angoissant de ce roman ne fait pas partie de mes habitudes de lectrice.
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Malheureusement, même si je voulais savoir la fin, ce n'est pas une lecture qui m'a emportée du fait du malaise ressenti. Mais je suis contente d'avoir pu découvrir un style différent et je suis persuadée qu'il plaira à grand nombre de lecteurs, adeptes de ces ambiances mystérieuses et qui font froid dans le dos.

Un voyage au coeur de la Venise baroque

Qu'il me tardait de lire ce roman et de partir en Italie. Voilà le livre refermé, lu ; je peux enfin vous en parler.

Roman d'ambiance, ce livre nous emmène à Venise, au milieu des palais sombres et lugubres, aux coins des rues brumeuses et gothiques. J'ai adoré cette atmosphère! Dès les premières pages débutées, je n'avais qu'une envie : prendre un billet d'avion pour me rendre sur la piazza San Marco.
Derrière ces rues ténébreuses et froides, il y a la Casa Basilio où Elena Spira séjourne pour soigner Samuel Farber. A peine arrivée, des événements étranges surgissent et le comportement de son malade est lui aussi singulier.
Pourquoi Samuel chante-t-il ses chansons ? Pourquoi semble-t-il toujours dans cet état soporifique ?
Elena parviendra-t-elle à le guérir de ce mal mystérieux?

Qu'en ai-je pensé ? A vrai dire, j'ai trouvé que l'intrigue trainait en longueur parfois, que certains passages étaient redondants. Cela étant dit, j'ai vraiment beaucoup apprécié l'ambiance, l'atmosphère, l'époque. C'est selon moi, le point fort du roman qui tapisse un décor parfaitement gothique et sombre. On sort peu de la Casa Basilio puisque tout tourne autour d'Elena et Samuel ce qui confère au roman une sensation d'oppression, d'enfermement, on déambule surtout au sein de ce vieux palais délabré ; et pourtant j'ai eu cette sensation d'avoir voyagé à Venise. Paradoxal non ?

Quant aux personnages ? Que dire ? Elena n'est pas médecin, c'est elle qui va prendre en charge Samuel avec des pratiques médicales moins conventionnelles et c'est toujours intriguant d'observer la façon de faire selon les époques. C'est une jeune femme courageuse, soumise aux coutumes de l'époque avec un mariage programmé par son père ; mariage auquel elle aimerait se soustraire. Je l'ai trouvé assez attachante alors que Samuel et les autres habitants de la maison étaient plutôt agaçants.

Un moment de lecture assez agréable néanmoins, qui saura ravir les fans de romans historiques et de secrets de famille.

La malédiction de Venise


La couverture de ce roman est sublime.
Pourtant, c'est au coeur une Venise brumeuse et inondée qu'Elena Spira se rend à bord d'une gondole vers la Casa Basilio. Un palazzo complètement délabré, en ruine et menaçant, bien loin de ce qu'elle avait imaginé.

Elena est infirmière et a été envoyée en Italie après une grave erreur, afin de sauver sa famille. Elle est ici pour s'occuper d'un riche malade, Samuel Farber.

La malédiction de Venise est un roman mystérieux, dans lequel les personnages sont antipathiques, d'où surviennent de sombres démons, à la frontière de la folie.

L'évolution de la violence est palpable, rendant l'atmosphère oppressante et sombre.

L'intrigue est lente et peut plonger le lecteur dans une attente interminable, à l'image de ce champ de ruines et de désolation faisant ressortir le charme gothique du roman.

Vous laisserez-vous tenter par cette atmosphère bien maîtrisée, au coeur d'un roman dérangeant, d'où vous ne serez pas entièrement en capacité de maîtriser le réel de la folie ?

De mon côté, se sera une lecture en demi-teinte, à l'ambiance sombre et plaisante, mais où le poids des longueurs l'aura finalement emporté.

Attirée par la couverture, le résumé et le lieu où se déroulait l'intrigue, j'ai immédiatement été happée par ce livre. J'y ai retrouvé, dans les mots de l'auteur, un charme délicieusement suranné à la "Wilkie Collins" ainsi que l'ambiance suffocante de sombres couloirs d'un palais vénitien, atmosphère pleine de mystère et de surnaturel. Et puis, au fil des pages... Et puis, la magie n'opère plus... le dénouement est devenu prévisible au possible, les décors s'effritent, les personnages s'étiolent et une histoire qui part en lambeaux...

Est-ce que j'en attendais trop ? Je ne sais pas mais je suis clairement loin du coup de coeur que j'avais eu pour son autre roman "Le chant de la vengeance". Elena arrive à Venise pour s'occuper de Samuel Farber dans le palazzo de la famille Basilio. Un palazzo en ruines et une ambiance froide, mystérieuse que l'autrice met bien en place et décrit parfaitement. Des secrets entourent cette famille et le suspense est donc bien là. Mais... il y a trop de longueurs à mon goût, beaucoup disent que ça les a aidé à vraiment rentrer dans l'ambiance. de mon côté, cela m'a un peu ennuyé bien que j'avais toujours envie de découvrir le fin mot de l'histoire. La partie romance m'a gênée un peu dans ma lecture après je ne fais pas partie des personnes qui lisent ce style alors à petite dose ça va mais j'ai trouvé certains passages pas forcement indispensables à l'intrigue. J'ai trouvé le personnage d'Elena un peu trop naïve mais ça c'est mon ressenti... J'ai vu la fin arriver, rien de dingue ou surprenant. C'est donc une lecture mitigée pour moi, même si j'aime toujours la façon dont Megan Chance écrit et les chapitres étant courts, le livre se lit facilement.

Il est certain que je ne suis pas la cible de ce roman d'amour, un Roméo et Juliette version fantastique.
La jolie couverture m'a pourtant convaincue de me plonger dedans et j'y ai sombré, pris par son ambiance et ses personnages.
J'ai grandement apprécié la première partie dans laquelle nous allons découvrir le passé caché de chaque protagoniste et leurs lourds secrets.
La psychologie des personnage est décrite avec une très grande précision par Megan Chance, cela rend les réactions crédibles et les joutes verbales appréciables.
Je n'en dirais pas tant pour le côté fantastique du livre, sur ce plan les réactions face aux événements paranormaux ne sont absolument pas crédibles. Quand les faits sont là, on ne peut pas les nier...

Cara Elena, j'ai sauté dans ma plus belle gondole afin de te venir en aide dans la Casa Basilio parce que quand j'ai appris que tu séjournais là-bas, autant te dire que j'étais carrément emballé de courir à Venise ! Et donc, c'est le Venise plein de brume, de froid et de vent qui m'attendait, évidemment l'ambiance du Palazzio était identique. Une bonne femme nommée Giulia (Oui comme mon surnom mais crois-moi que, je suis bien plus sympathique qu'elle!) aucun sourire, aucun bonjour, ça m'a quelque peu refroidi. J'ai ensuite monté les marches à moitié brisées pour me retrouver nez à nez avec toi, qui, bizarrement, n'était visiblement pas ravie de me voir non plus. Alors quand j'ai entendu le hurlement de Samuel dans la pièce à côté, j'ai carrément compris que ce n'étais pas la joie ici. Puis, voilà qu'un autre bonhomme a fait son apparition avec un sourire enjôleur (Je suis pas une fille facile, y en a déjà un qui me supporte depuis 10ans je te signale!). Alors, nous avons conversé et c'est là que j'ai compris. Samuel ne va pas bien du tout, sa maladie est très sérieuse mais... Il n'y a pas que ça. Toi, Elena tu as commis une grave faute et pour te racheter te voilà ici à tout faire pour le guerrir mais j'ai senti dans ton regard que ce n'était pas évident. Et voilà que M. Basilio parle de vos idées de fantôme ! Je n'ai pas pu rester longtemps avec vous, c'est pour cela que je t'écris, je dois t'avouer que je n'ai eu aucune sympathie pour vous. Et malheureusement votre histoire n'a pas su me toucher, c'était redondant et les secrets étaient au second plan par rapport à la romance qui je l'avoue ne m'a pas séduite. Alors oui, l'atmosphère est là, c'est vrai. Mais moi, je préfère vous laisser tranquille avec vos fantômes et vos rêves, nous n'étions tout simplement pas faits pour nous entendre mais, vous trouverez probablement des personnes qui eux, s'auront vous comprendre mieux que moi. Bien à vous, DouceurPlume.
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