Les deux premiers tomes ont fait une histoire complète et la série aurait pu se terminer après ce deuxième tome.
C'est donc une histoire nouvelle que va vivre Aïnako, jeune reine sans expérience qui fait bourde par dessus bourde et qui n'est pas respectée ni par sa mère ou sa grand-mère, ni par les conseillers de Shamguèn.
Aïnako n'est plus l'héroïne des deux premiers tomes. le véritable héros de ce ce troisième tome est Faelkor, le père d'Anaïko. Il était probablement l'Elfe le plus puissant du royaumemais il préférait passer pour un lâche plutôt que de faire du mal avec sa puissance.
Même si ce tome est moins captivant, il n'en demeure moins très intéressant. L'imagination y règne toujours en maitresse et les descriptions des différents royaumes demeure toujours fascinante.
Je dois lire le quatrième tome parce que nous ne savons toujours pas qui a attaqué les deux royaumes des Elfes.
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Ton père était quelqu'un d'exceptionnel. Il voyait le bon en chaque individu. En sa présence, on avait envie de devenir meilleur. On avait envie d'être réellement la personne qu'il voyait en nous.
Page 56
Des musiciens reprenaient les airs joués au palais, tandis que d'autres plus loin, les reprenaient à leur tour. La cacophonie des sons était étrangement harmonieuse.
Page 61
La guerre ne sert à rien. Si on veut la paix, on n'a qu'à arrêter de se battre. Au fond, les gens aiment bien la guerre; ça leur donne une raison de vivre, abrutis qu'ils sont.
Page 219
Les gens sont complexes, commenta Naïké. Quelqu'un qui est sans contradictions est quelqu'un qui est sans sentiments.
Page 36