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EAN : 9791026203162
165 pages
Librinova (29/10/2015)
4.38/5   4 notes
Résumé :
Neuf professeurs de lettres ou de philosophie des prestigieuses classes préparatoires  parisiennes meurent en quelques mois. Philippe Chardon, commissaire de police et ancien élève de l'une de ces "prépas", enquête discrètement sur ces morts en apparence naturelles. Sa curiosité autour de cette affaire est aiguisée lorsqu'elle lui donne l'occasion de revoir la belle Marianne Detours, le professeur de lettres qu'il aimait secrètement lorsqu'il était son élève. Toutef... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Voilà! J'ai terminé ma lecture... J'ai beaucoup apprécié ce roman parce qu'il est drôle et piquant d'abord. La vision des professeurs est intéressante et innovante en littérature, loin des clichés du fonctionnariat, (compassion comme un baume et satire hilarante). . Plus encore, l'intrigue policière est riche de rebondissements mais, de ces coups de théâtre médicaux, professionnels, passionnels, éditoriaux, il ne faut rien découvrir! Ensuite, la surprise est de trouver dans ce polar, une langue "pure" sertie de références littéraires qui sonnent comme ces mélodies qu'on aime entendre et fredonner en fermant les yeux! Pour les lecteurs qui cherchent à allier l'utile à l'agréable, ce livre est parfait aussi pour apprendre comment bannir de son langage toutes les incorrections: il n'est qu'à succomber au charme de son héroïne et on devient plus disert!
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Difficile d'écrire une critique même dithyrambique sur un livre de Catherine Choupin. On la voit d'ici chausser ses grosses lunettes pour dénoncer les "gros mots".
Et puis une critique trop négative ? Je ne m'y risquerais pas ! J'aurais trop peur de vengeances digitalines, phalloïdes ou cocaïnes. Ou plus sobrement qu'elle m'utilise dans un de ses romans sous la forme d'une vieille fille dévoreuse de romans de gares, acariâtre, misanthrope et ailurophile, qui fait empester son voisinage par une colonie de chats sans foi ni loi...
Tout ça pour dire que la puriste est un livre désopilant pas piqué des vers !
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Policier mais pas que, c'est aussi une histoire d'amour.
Au fil des chapitres, Philippe Chardon essaye de dénouer l'énigme de ces neufs morts. Chaque personnage a bu une boisson quelques heures avant de mourir.
Mais Marianne occupe beaucoup son esprit et il ne peut plus concevoir d'être éloigné d'elle. On les suit dans leurs promenades, dans leurs beaux échanges verbaux, leurs soirées chez l'un ou l'autre.
Rencontre amoureuse et Enquête sont imbriqués et donnent un roman policier à part, très agréable à lire.

Lien : http://vie-quotidienne-de-fl..
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J'ai lu ce roman de 150 pages en quelques jours, livre très prenant qui nous donne qu'une envie, le poursuivre. Pourtant, une certaine déception pour moi. Classé en tant que roman policier, je m'attendais à une enquête policière dans les règles de l'art. Pourtant, en tant que polar, ce livre pourrait être à mourir d'ennui. Alors pourquoi le poursuivre dans ces conditions ? Simplement parce que l'histoire soulève une romance qui nous oblige à vouloir en savoir plus
Lien : http://www.sevylivres.fr/201..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Il était fort occupé, mais depuis la suppression des fonctionnaires que le précédent quinquennat avait entamée, l'État n'avait d'autres possibilités que de surexploiter ses agents. Philippe avait d'autres affaires en cours, sans compter les affaires courantes, et on lui suggéra de s'intéresser à celle-ci à ses« heures perdues ». Des heures tellement perdues qu'il peinait à les trouver.
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Souvent Marianne affirmait, dans ses crises de mégalomanie humoristique, qu’elle était le professeur le plus important de la prépa puisqu’en apprenant aux élèves à parler le français, elle leur donnait l’outil qui servait pour toutes les autres matières.
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Ah, la voir un jour dans cette chambre du passage d’Enfer ! Ou accéder à sa chambre à elle ! Entrer dans le saint des saints, délaisser les ratures et l’allonger sur son lit… Elle avait jadis évoqué le jeu de mots surréaliste : la littérature, c’était finalement faire beaucoup de ratures, comme Flaubert, pour aboutir à l’étreinte des deux héros dans un lit. La littérature menait au lit tout court.
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Il lui en parlerait la prochaine fois. La prochaine fois... quelle douce expression pour un amoureux ! Philippe rentra à Paris dans le matin bleu et frais de juin. Il était le plus heureux des hommes.
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Ce monsieur, paix à son âme, ne connaissait certainement pas d’autre adjectif qu’ « abscons » : « obscur » lui eût paru trop clair !
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