Cioran voudrait que la vie, l'être humain et le monde soient à l'image qu'il s'en fait, qu'il voudrait en faire ou que sa religion lui a inculquée. Comme ça ne cadre pas, il est amère, sceptique, sarcastique, cynique… Il boude dans son coin. En cela il rejoint le médecin Destouches, (Céline) dont on veut faire le maitre à penser et à écrire, des nouvelles générations, et qui n'était qu'un vulgaire antisémite. Tiens, comme
Cioran ! Des gens aigris qui ne pensent que l'abject et veulent l'imposer, (même quand il s'agit de persécuter un peuple), image qui n'est que le reflet d'eux-mêmes.