- Yûko… Est-ce que j’ai fait une erreur ?
- Tu sais, il n’y a pas de mauvais choix, mais il n’y en a pas non plus de bon. Le choix est un processus qui mène vers autre chose. Chacun doit constamment décider du chemin qu’il veut prendre.
- Même si on décide de ne pas choisir ?
- Ne pas choisir est aussi un choix.
Lorsqu'une personne n'est plus nécessaire, on l'oublie et elle finit par disparaître. Même si elle nous était très chère et nous semblait irremplaçable. Le temps suit son cours et emporte tout sur son passage. Ce n'est ni une bonne ni une mauvaise chose.
Tu sais, il n’y a pas de mauvais choix. Mais il n’y en a pas non plus de bon. Le choix est un processus qui mène vers autre chose. Chacun doit constamment décider du chemin qu’il veut suivre.
Elle doit avoir beaucoup d’intuition, ou un pouvoir qui lui permet de détecter le danger, un reste de cette sorte de sixième sens que possédaient les gens dans le temps. Ne pas s’approcher imprudemment de ce qui peut être risqué, ne pas entrer là où il est défendu d’aller. Ça paraît logique, mais de nos jours ces évidences ont tendance à s’effacer.
La montagne n’est pas comme la plaine. Lorsque les hommes s’y rendent ils constatent immédiatement que le terrain est accidenté, ce qui leur procure un sentiment d’inquiétude. Cette peur les pousse à vénérer ce qu’ils ne contrôlent pas. Le respect engendre des croyances, et les croyances donnent du pouvoir à ceux qui en sont la cible. Aussi ceux qui ont reçu du pouvoir protègent en retour ceux qui le leur ont donné. C’est pour ça que les hommes vénèrent toujours davantage les divinités qui veillent sur eux.
Tu me coupes la parole de plus en plus souvent. Ça peut être un effet de style, mais tu devrais laisser le temps au public de respirer entre 2 gags, sinon tu risques de lasser tes spectateurs.
On ne peut jamais revenir en arrière. Même si les apparences peuvent laisser supposer que rien n’a changé, la situation n’est plus la même. Une fois qu’on a perdu quelque chose, rien ne sera jamais plus comme avant.
L’époque n’est plus à l’animisme.
Le moineau de nuit – C'est un monstre qui pousse des cris de moineau. Il suit les promeneurs qui s'aventurent sur les chemins de montagne. Selon les endroits il n'a pas l'apparence d'un moineau, mais d'un papillon de nuit, et on raconte que sa venue annonce l'apparition d'un chien sauvage.
De l'eau de prune : c'est une préparation à base d'eau de prunes saumurées et de vinaigre.