Léa, récemment veuve, vit à deux pas de son beau-frère, Henri.
Ils se chamaillent beaucoup, mais une tendresse bourrue les réunit souvent.
Henri est un infatigable bavard, surtout lorsqu'il s'agit de raconter ses souvenirs de guerre.
Et là ; j'ai revécu les interminables « radotages » de mon grand-père, que je n'écoutais même plus, mais que je payerais cher pour pouvoir entendre de nouveau.
Ce roman n'a rien d'exceptionnel, mais ce fut une bouffée de nostalgie sympathique, et puis, c'est toujours agréable de lire
Bernard Clavel.
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