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Critique de Cormorobin
Voilà un Harlan Coben sans Myron Bolitar. de mon point de vue, c'est plutôt réussi, même si c'est certainement un peu moins réussi que d'autres.
L'histoire est celle de Wendy, journaliste en vue, spécialisée dans la traque de criminels. Et là, elle met à jour un prédateur pédophile Dan, qui sera bientôt abattu sous ses yeux...
Comme c'est le cas pour tous ces livres "one shot", le scénario se base sur le même principe, à savoir bâtir une histoire qui parait totalement dénuée de toute réalité, mais qui en fait se fonde sur une série de petits événements, plus ou moins anciens, qui mis bout à bout, donnent un récit qui s'avère crédible.
Comme d'habitude, les gentils vont s'en sortir, certains perdront quelques plumes, les méchants perdront, mais le chemin sera parsemé de quelques cadavres.
Etant plutôt un fan de Harlan, même si j'avais deviné quelques points dès le début, je me suis laissé prendre au récit.
Et puis j'aime bien aussi, même si c'est sans Myron, que l'auteur distille quelques personnages secondaires de la série, les lieux, les constantes, pour donner cette histoire. Il arrive même à citer la société de MB. Et Win, parfois terrifiant, l'ami éternel, le sauveur de Myron, fait un passage qui s'avèrera décisif pour arriver au dénouement.
Donc ça se lit.
L'histoire est celle de Wendy, journaliste en vue, spécialisée dans la traque de criminels. Et là, elle met à jour un prédateur pédophile Dan, qui sera bientôt abattu sous ses yeux...
Comme c'est le cas pour tous ces livres "one shot", le scénario se base sur le même principe, à savoir bâtir une histoire qui parait totalement dénuée de toute réalité, mais qui en fait se fonde sur une série de petits événements, plus ou moins anciens, qui mis bout à bout, donnent un récit qui s'avère crédible.
Comme d'habitude, les gentils vont s'en sortir, certains perdront quelques plumes, les méchants perdront, mais le chemin sera parsemé de quelques cadavres.
Etant plutôt un fan de Harlan, même si j'avais deviné quelques points dès le début, je me suis laissé prendre au récit.
Et puis j'aime bien aussi, même si c'est sans Myron, que l'auteur distille quelques personnages secondaires de la série, les lieux, les constantes, pour donner cette histoire. Il arrive même à citer la société de MB. Et Win, parfois terrifiant, l'ami éternel, le sauveur de Myron, fait un passage qui s'avèrera décisif pour arriver au dénouement.
Donc ça se lit.
