AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Morphil


Un ami m'a laissé une pile de livre. J'en tire un au hasard pour voir. J'ai jamais eu beaucoup de chance au jeu. Un Harlan Coben. Un de plus un de moins... et puis c'est vite lu.
On n'est pas dépaysé avec cet auteur très prolixe. Là, le héros n'inspire pas vraiment la sympathie. Ceci dit, c'est sans surprise vu qu'il s'agit du grand ami de Myron Bolitar. Au passage, un peu de publicité pour lui-même, ce n'est pas à négliger, alors le prénom Myron revient de façon récurrente tout au long du roman et, aspro peau (je ne suis pas rémunéré), la publicité est omniprésente dans ce navet. On se croirait sur une chaîne tv privé (de celles dont le chiffre est supérieur à 7). Là, c'est pas pour les lessives ou les goûters infects pour enfant. Non, c'est pour l'industrie du luxe, pas de la sape de grande surface. Ça doit bien payer. C'est pas toutes les vingts minutes, c'est toutes les vingts pages. Rassurez-vous, on croisent aussi quelques gueux mais pas trop, pas besoin de lire en apnée.
À part ça, l'histoire est tirée par les cheveux bien que quelques protagonistes en soient privés (pas de réclame pour une lotion capillaire ou shampoing miracle), on connaît la suite avant de l'avoir lu, la fin jus de boudin m'a laissé sur ma faim. Champagne ! (La marque est dans le bouquin)
Promis, juré, plus jamais Harlan Coben.
Quoique, un jour de disette, on ne sait jamais.
Mon conseil : passez sans le voir.
Commenter  J’apprécie          302



Ont apprécié cette critique (29)voir plus




{* *}