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Critique de LoupAlunettes
: L'auteur nous invitera à suivre un drôle de convoi: un vieux roi et un petit palefrenier.
La guerre a envoyé au loin chevaliers et chevaux et il ne restera que Gaspard et Henry son crapaud pour l'accompagner dans une mission mystérieuse.
Qui gardera le château et le royaume si le roi n'y est plus?
Pour la petite géographie, Fabrice Colin n'en fera pas mention mais nous, nous saurons dans quelle partie du monde nous serons ici, avec l'amie cigogne de Gaspard et les costumes des femmes de la cour: l'Alsace.
La mission semblera folle ou très importante pour qu'un roi soit assisté d'un enfant, aussi palefrenier soit-il.
Nous aimerons ces moments de sagesse et de rêverie où Gaspard demandera conseil à la cigogne et à son crapaud.
Est-il "l'homme" de la situation?
Les superbes paysages d'orage, de ciels tourmentés, de forêts aux feuillages roux et diffus nous ramèneront à un autre titre de l'illustratrice: "Sylvain de Sylvanie, chevalier" écrit par Didier Levy ( Sarbacane). À découvrir également.
Les voies du chemin seront-ils épiques?
Gaspard, qui rêvait de devenir un jour chevalier et qui n'avait jamais dépassé les terres du seigneur, prendra le goût du voyage entre fascination et appréhension.
Que peut-il se cacher aux détours des chemins?
Le roi semblera ne plus avoir fait de guerres depuis longtemps.
" le roi et l'enfant" transformera ce récit initiatique chevaleresque en apprentissage d'aide à la personne pour Gaspard. Il pourra compter sur sa capacité à comprendre les animaux pour apprendre à regarder au delà des apparences des humains qu'il croisera.
On accroche au récit, à sa fine sensibilité, au désir d'aventure du personnage.
Il y aura de l'action, du sortilège et des épreuves de courage pour Gaspard.
Une première de couverture et deux pages plus tard, nous sommes déja dans l'enchantement des images.
Éloïse Scherrer, quel talent!
Nous nous étions, avant d'ouvrir l'album, laissés amadouer par le nom de l'auteur, Fabrice Colin, bien connu et apprécié des romans d'aventures ados.
Et puis, presqu'aussitôt la qualité des illustrations nous installerons dans l'envie d'en voir plus, apportera une grâce de la touche et du trait captivante.
C'est plein du sentiment de détenir là du beau livre que nous entrerons dans le vif de l'intrigue, espérant faire un coup double sur la qualité.
Une belle découverte entre le conte et le récit chevaleresque.
La guerre a envoyé au loin chevaliers et chevaux et il ne restera que Gaspard et Henry son crapaud pour l'accompagner dans une mission mystérieuse.
Qui gardera le château et le royaume si le roi n'y est plus?
Pour la petite géographie, Fabrice Colin n'en fera pas mention mais nous, nous saurons dans quelle partie du monde nous serons ici, avec l'amie cigogne de Gaspard et les costumes des femmes de la cour: l'Alsace.
La mission semblera folle ou très importante pour qu'un roi soit assisté d'un enfant, aussi palefrenier soit-il.
Nous aimerons ces moments de sagesse et de rêverie où Gaspard demandera conseil à la cigogne et à son crapaud.
Est-il "l'homme" de la situation?
Les superbes paysages d'orage, de ciels tourmentés, de forêts aux feuillages roux et diffus nous ramèneront à un autre titre de l'illustratrice: "Sylvain de Sylvanie, chevalier" écrit par Didier Levy ( Sarbacane). À découvrir également.
Les voies du chemin seront-ils épiques?
Gaspard, qui rêvait de devenir un jour chevalier et qui n'avait jamais dépassé les terres du seigneur, prendra le goût du voyage entre fascination et appréhension.
Que peut-il se cacher aux détours des chemins?
Le roi semblera ne plus avoir fait de guerres depuis longtemps.
" le roi et l'enfant" transformera ce récit initiatique chevaleresque en apprentissage d'aide à la personne pour Gaspard. Il pourra compter sur sa capacité à comprendre les animaux pour apprendre à regarder au delà des apparences des humains qu'il croisera.
On accroche au récit, à sa fine sensibilité, au désir d'aventure du personnage.
Il y aura de l'action, du sortilège et des épreuves de courage pour Gaspard.
Une première de couverture et deux pages plus tard, nous sommes déja dans l'enchantement des images.
Éloïse Scherrer, quel talent!
Nous nous étions, avant d'ouvrir l'album, laissés amadouer par le nom de l'auteur, Fabrice Colin, bien connu et apprécié des romans d'aventures ados.
Et puis, presqu'aussitôt la qualité des illustrations nous installerons dans l'envie d'en voir plus, apportera une grâce de la touche et du trait captivante.
C'est plein du sentiment de détenir là du beau livre que nous entrerons dans le vif de l'intrigue, espérant faire un coup double sur la qualité.
Une belle découverte entre le conte et le récit chevaleresque.
