Pour le second volume, le terme que nous nous sommes fixé est le début de l'époque impériale, c'est-à-dire le moment où l'art hellénique se plie au goût romain, et perd sou indépendance. Sans méconnaître l'intérêt de l'art gréco-romain, qui offre encore matière à bien des recherches, notre curiosité s'adresse plus volontiers aux époques où l'art de la Grèce manifeste son originalité, et où la veine productrice n'est pas encore épuisée.