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Critique de Edmengarde
Fidèle à sa plume, Michael Connelly nous plonge cette fois dans une intrigue subtile où se rencontrent 2 grandes personnalités : l'incontournable Harry Bosch et Terry MacCaleb, le héros de Créance de Sang.
L'auteur entremêle deux mondes, complémentaires et pourtant si différents : celui du policier qui mène son enquête, confronté aux ténèbres et celui d'un procès médiatisé, sous les feux de la rampe. Par petites touches, il nous fait rentrer dans les arcanes d'un tribunal, où chaque mot s'avère crucial, exploitable, ou encore fatal. On se rappelle alors que le monde est tout sauf manichéen, et que la Justice a des contours bien plus flous et qu'il faut savoir la courtiser pour faire éclater la Vérité. Qu'il faut aussi savoir ronger son frein, avancer ses pions avec intelligence.
L'histoire nous tient en haleine et réserve des surprise jusqu'aux dernières lignes, enrichissant ce roman policier d'une dimension psychologique forte. Comment rester intègre et dans le droit chemin dans un monde de violence, corrompu, où l'argent est roi? Comment préserver ses convictions de Justice? Jusqu'où peut-on aller au nom de la Justice?
L'auteur entremêle deux mondes, complémentaires et pourtant si différents : celui du policier qui mène son enquête, confronté aux ténèbres et celui d'un procès médiatisé, sous les feux de la rampe. Par petites touches, il nous fait rentrer dans les arcanes d'un tribunal, où chaque mot s'avère crucial, exploitable, ou encore fatal. On se rappelle alors que le monde est tout sauf manichéen, et que la Justice a des contours bien plus flous et qu'il faut savoir la courtiser pour faire éclater la Vérité. Qu'il faut aussi savoir ronger son frein, avancer ses pions avec intelligence.
L'histoire nous tient en haleine et réserve des surprise jusqu'aux dernières lignes, enrichissant ce roman policier d'une dimension psychologique forte. Comment rester intègre et dans le droit chemin dans un monde de violence, corrompu, où l'argent est roi? Comment préserver ses convictions de Justice? Jusqu'où peut-on aller au nom de la Justice?
