Mais quel est ce rien auquel il peut être accordé tant de mots ? L’une des réponses à la question se trouve peut-être du côté de ces trois textes impertinents, habiles et distingués. Un premier en forme d’exercice de haut vol, où se déclinent acrobaties verbales, érudition brillante et pirouettes spirituelles ; un second d’ordre fantastique, à la manière d’un étonnant dialogue des morts entre Byron, Voltaire et Young ; puis un dernier, avec ses airs de conte galant,... >Voir plus