Le titre "Mourir de dire" m'interpellait et c'est sans me poser plus de question que je me suis plongée dans cette lecture, sans savoir à quoi m'attendre. Au départ, la lecture est facile, compréhensible et intéressante. Mais au fil de pages, le désordre se fait, les contradictions pleuvent et la compréhension devient impossible. Comme nombre de livres de psychologie, les répétitions y sont nombreuses et fatigantes. La moitié moins de pages aurait suffit pour que le contenu soit plus clair, plus structuré. Et que l'on ne s'y perde pas. Je retiens quelques éléments intéressants malgré tout.
Commenter  J’apprécie         100