C'est le second roman que je lis de
Christina Dalcher, après «
Vox ». le bandeau sur l'ouvrage m'a un peu bloquée car, on ne peut pas considéré que parce qu'une auteure a écrit de romans, elle devient la reine du genre. Personnellement, je préfère, et de loin, la plume de
Margaret Atwood. Bref, passons. C'est juste une accroche publicitaire. le postulat de départ frappe fort, est-ce que le reste va suivre ?
Le monde a tourné à l'anarchie. Plus personne n'est en sécurité, surtout les femmes, victimes faciles de la violence. Totalement démunie matériellement et physiquement, Miranda se résout à rejoindre la communauté de
Femlandia, accompagnée de sa fille Emma. Exclusivement réservé aux femmes qui y vivent en complète autarcie, ce lieu est un refuge face à la violence environnante. Mais ce « paradis » est-il bien ce qu'il prétend être ?
Comme peut le constater le lecteur, le postulat de départ de ce roman est vraiment intéressant. Il laisse supposé beaucoup d'événements et peut-être une claque magistrale. L'auteure joue sur les codes du féminisme, mais elle frôle la misandrie — la haine des hommes — complète. Elle donne une image peut reluisante voire caricaturale des féministes. En plus des longueurs, le lecteur constate encore une fois de nombreuses similitudes avec l'oeuvre de
Margaret Atwood.
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