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Ça ne s'invente pas. Fleuve Noir 1972.
Nous voilà donc en janvier, mois des bonnes résolutions et en particulier pour moi, celle de revenir aux fondamentaux : le San-Antonio mensuel.

« Je sais bien, seulement j'sus comme le père Flex, moi : dans l'indécision de mon expectative. Si j'y colle le zéro dont auquel il mérite, il va se retrouver chez plumzingue, le concurrent ! C'est éliminatoire, un zéro. V'la un des dix lemmes de ma qualité de jury. Coincé entre mon bon coeur et ma conscience, que voussiez-vous que je fisse ? Bon, allons-y pour un 2, mais c'est bien parce qu'il est natif de Juliénas, le concurrent ! Au suivant ! »
Non, non, vous ne rêvez pas : Bérurier, dit Béru, le gros, l'enflure… et même Alexandre Benoit, jury d'un concours de « passage à tabac » !
L'interviewé, Hanjpur-Hanjrâdhieu (*) , un Hindou accusé d'avoir brulé un « dame de petite vertu » qui venait de lui avouer qu'elle était veuve ; rien de plus normal sous le soleil des Indes…
Une affaire d'héroïne plus tard, et voilà Béru et Sana en vol pour le pays des Maharajahs…

Un épisode qui démarre bien : San-A. Béru, Pinaud et même Marie-Marie. C'est la fête, faites entrer les femmes nues !
En fait de femmes nues, un chapitre plutôt pauvre …
Un chapitre qui serait plutôt remarquable en ce qui concerne les digressions pas toujours bien venues, du genre remplissage… Sachant que Pinaud et Marie-Marie enjolivent le décor, mais sans plus, Béru en mode aseptisé, l'épisode ne restera pas dans les meilleurs.
Au final, et même si celui du bouquin est un peu bâclé (**), un bon moment de lecture sans prise de tête.

(*) C'est lui qui le dit
(**) Comme parfois, comme souvent…

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Moyen moyen moyen. Tellement moyen qu'il faut mieux l'oublier. Comme dans pas mal de San-Antonio, malheureusement, le dénouement est balancé comme ça, en mode capilotractage, dans les toutes dernières pages, avec des explications imprévisibles, fortuites. C'est emmerdant, car le lecteur, lui, n'a, à aucun moment, eu le plaisir d'être « accroché » par la conduite de l'enquête, par l'intrigue, et donc par l'histoire.
A part ça, quelques bons moments de truculence verbale avec Bérurier, mais bon, moyen encore. Globalement, le comique ne dépasse pas le niveau des calembours autour des personnages secondaires (hindous) : Hivy Danhladesh, le Maharajah Tanhnahuncomça, et la princesse Çavajéjoui... Qu'est-ce qu'il devait se marrer, Frédéric Dard, à inventer ces blazes ! C'est comme ça, avec les aventures du commissaire San-Antonio : on peut tomber sur du très bon, du truculent, du jouissif, mais il y en a un paquet de très très moyen, et parfois des lamentables (comme « Passez-moi la Joconde », le plus mauvais de tous ceux que j'ai lu).
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En 1972, San-Antonio publie ce nouvel opus, le 80ème de la série, dans lequel il nous emmène en Inde pour de toujours truculentes aventures autour d'une histoire policière sans prétention. de nombreuses divagations sexuelles émaillent l'ouvrage avec une princesse indienne dont les sens sont vite calmés ainsi que l'indique son nom. Rien de très nouveau au pays des tigres et des maharadjahs mais un bon moment quand même.
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80ème roman de San-Antonio publié le 25/11/1972.
L'histoire se déroule sur une durée de 4 jours à Paris et la région parisienne pour la première partie et l'Inde pour la deuxième pendant l'hiver 1971-1972.

Histoire : Pendant un concours de "passage à tabac", un hindou avoue que de la drogue est passée en France par un joueur de hockey. Le Vieux demande à San-Antonio et Bérurier d'enquêter en Inde.

Cette première partie met en scène le fameux trio; Pinaud en profite pour montrer sa dernière voiture : une 2 CV trafiquée. La deuxième partie met en scène San-Antonio et Bérurier en Inde.

Encore de bons jeux de mots (avec les noms indiens) et une bonne enquête. Frédéric Dard exploite bien le personnage de Bérurier dans la deuxième partie.
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Bonjour,

Voici un bon vieux polar que je viens vous chroniquer rapidement en retour de lecture : "ça ne s'invente pas" du célèbre Frédéric Dard aux éditions Fleuve noir. Lu et chroniqué dans le cadre du challenge San-Antonio que je relève sur Babélio.

Le récit démarre lorsque la police a arreté un joueur de hockey sur glace . Il fait parti de l'équipe hindou de hockey sur glace. Malmené par un concurrent au concours de passage à tabac, l'homme a révélé que le goal de son équipe portait sous sa combinaison de jeu vint kilos de cocaïne qui devait être remis à des trafiquants français à l'issue du match France - Inde.

Au débit de la partie, c'est un français, Jacques Merdre qui a assommé le gardien de but hindou. Deux ambulanciers sont venus évacuer le blessé. le trio San-A, Béru et Pinuche suit cette ambulance qui après coup ne se dirige pas vers un hôpital mais prends plutôt la poudre d'escampette sur l'autoroute A6.

De cet évènement démarre le récit rocambolesque qui ne cessera d'évoluer de manière peu orthodoxe et de façon tout-part-à-veau-l'eau. Ajouté à cela que le patron a demandé à San-Antonio d'enquêter sur le meurtre du fils Merdre alors qu'ils sont sur cette affaire sans le vouloir !

Un livre que j'ai lu sans grande conviction, je m'y suis ennuyée. J'ai eu du mal à accrocher à l'histoire, ça renâcle à faire le boulot, ça pousse mémé dans les orties à trop vouloir discourir de ceci et de cela. Même les jeux de mots sur les noms hindous ne sont pas tirés par les cheveux, j'ai trouvé que l'effort minimum syndical était fourni et encore…

Beaucoup plus de coïts qu'à l'accoutumée, l'action est là mais manque de conviction à nous accrocher. Certains calembours et références à l'actualité de l'époque n'ont pas traversé le temps. Je suis restée de marbre sur cette aventure. Heureusement que Frédéric en a écrit de bien meilleurs, je vais aller me consoler avec ceux-là.

Bonne lecture amis lecteurs
Lien : https://lecture-chronique.bl..
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Un livre vulgaire qui m'a laissé perplexe.
Il y a de l'action, certes, mais ça reste des actions qui n'ont rien de travaillées.
De la violence et du sexe, c'est tout ce que j'ai pu retenir de ce livre. Rien de bien palpitant au final.
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