>
Critique de photomum01
Le Vieux Lille, une brasserie, un homme, une femme, parmi tant d'autres... et en un quart de seconde les destins d'Emma et Alexandre vont être scellés... à jamais.
La quarantaine, mariée, mère de trois enfants, Emma va partir rejoindre cet inconnu croisé à l'heure du déjeuner. Sa vie confortable semblait pourtant lui convenir mais un désir irrépressible s'est emparé d'elle et elle va danser au bord de l'abime... comme la chèvre d'Alphonse Daudet.
Dès les premières pages, le lecteur plonge dans l'histoire improbable d'Emma et il sent tout de suite qu'un compte à rebours a commencé...
C'est une histoire d'amour, d'illusions et de désir, de remords, de culpabilité, de pardon, une histoire dans laquelle chaque personnage joue un rôle qui n'est pas forcement celui qui lui incombe...
L'écriture est belle comme une danse joyeuse, l'histoire est fragile et sombre comme l'abime...
Grégoire Delacourt sait raconter de belles histoires tragiques et réconfortantes à la fois et le parallèle avec la chèvre de Monsieur Seguin est magnifique, cependant la dernière partie du livre est déconcertante voire décevante...
Ce qu'il faut en retenir :
"Le présent est la seule certitude, la seule île possible dans le vide.
C'est là que nous devons tous vivre. "
La quarantaine, mariée, mère de trois enfants, Emma va partir rejoindre cet inconnu croisé à l'heure du déjeuner. Sa vie confortable semblait pourtant lui convenir mais un désir irrépressible s'est emparé d'elle et elle va danser au bord de l'abime... comme la chèvre d'Alphonse Daudet.
Dès les premières pages, le lecteur plonge dans l'histoire improbable d'Emma et il sent tout de suite qu'un compte à rebours a commencé...
C'est une histoire d'amour, d'illusions et de désir, de remords, de culpabilité, de pardon, une histoire dans laquelle chaque personnage joue un rôle qui n'est pas forcement celui qui lui incombe...
L'écriture est belle comme une danse joyeuse, l'histoire est fragile et sombre comme l'abime...
Grégoire Delacourt sait raconter de belles histoires tragiques et réconfortantes à la fois et le parallèle avec la chèvre de Monsieur Seguin est magnifique, cependant la dernière partie du livre est déconcertante voire décevante...
Ce qu'il faut en retenir :
"Le présent est la seule certitude, la seule île possible dans le vide.
C'est là que nous devons tous vivre. "
